African
Journals Online
African Crop Science Journal
The Journal of Tropical Crop Science and Production
Volume 11 Number 1,
2003
Abstracts
Genotype X Environment Interaction and Stability Analysis of Seed
Yield in Navy Bean Genotypes
Setegn
Gebeyehu and Habtu Assefa
National
Lowland Pulse Research Program, Melkassa Agricultural Research Center,
P. O. Box 436, Nazareth, Ethiopia
Abstract
Genotype
x environment interactions, genotype response to environments and
stability for seed yield of navy bean genotypes (Phaseolus vulgaris
L.) were studied. Sixteen genotypes were grown in a randomised
complete block design with three replications at four locations in
Ethiopia. Genotype x environment (G X E) interactions were analysed
using linear regression. There was considerable variation in seed
yield within and across environments. Genotype x environment
interaction was present, the highest being the linear component. The
significance of the linear proportion demonstrated the adequacy of the
regression model in describing the stability of the bean genotypes.
Two genotypes, G 17450 and PAN 134 with respective regression
coefficient values of 1.04 and 1.09, smaller S2d
values, and a relatively high seed yield could be considered the most
widely adapted genotypes. The other test genotypes were sensitive to
production-limiting factors, their wider adaptability, stability and
general performance to the fluctuating growing conditions within and
across sites being lowered.
Key
Words:
Adaptation, Phaseolus vulgaris, regression coefficient, seed
yield
Résumé
Les
intéractions génotype et environnement, la réponse du génotype aux
environnements et la stabilité du rendement en graine des génotypes
de haricots commun (Phaseolus vulgaris L.) étaient étudiés.
Seize génotypes étaient germés dans un block completement au hasard
avec trois réproductions en quatre endroits en Ethiopie. Les intéractions
génotype x environnement (GXE) étaient analysées en utilisant une régression
linéaire. Il y avait une variation considérable en rendement en
graine dans et à travers les environnements. L’intéraction génotype
x environnement était présente et la plus élévée était la
composante linéaire. L’importance de la proportion linéaire a
demontré le caractère adéquat du modèle de régression dans la
description de la stabilité des génotypes de haricots. Deux génotypes,
G 17450 et PAN 134 avec des coéfficients de régression de valeurs
respectives 1,04 et 1,09 , les petites valeurs de Sd2, et un haut
rendement en graine relatif pourraient être considérés comme les génotypes
les plus largement adaptés. Les autres épreuves des génotypes étaient
sensibles aux facteurs limitant la production, leur large adaptabilité,
stabilité et performance générale aux fluctuantes conditions de
croissance dans et à travers les sites étant diminuées.
Mots Clés:
Adaptation, Phaseolus vulgaris, coéfficient de régression,
rendement en graine
GENOTYPE
X ENVIRONMENT INTERACTION STUDIES ON YIELDS OF SELECTED POTATO
GENOTYPES IN UGANDA
G.
Abalo, J. J. Hakiza1, R. El-Bedewy2 and E.
Adipala
Department
of Crop Science, Makerere University, P.O. Box 7062, Kampala, Uganda
1Kalengyere
Research Station, P.O. Box 722, Kabale, Uganda
2International
Potato Centre, Sub-Saharan Africa Region, P.O. Box 25171, Nairobi,
Kenya
Abstract
High
yielding potato (Solanum tuberosum) genotypes with good levels
of resistance to late blight were identified at Kalengyere Research
Station in southwestern Uganda. The yield stability of these
genotypes, however, remains uncertain. For instance, the performance
of these genotypes varied over 4 seasons of evaluation and when tested
at Kachwekano site. Genotype x environment interaction study was
therefore required to determine their adaptation in the different
agroecologies where the genotypes would be grown. Five sites in Uganda
at different elevations were selected for the study and these were
Kalengyere (2450 masl), Bulegeni (1670 masl), Mbarara (1500 masl),
Tororo (1250 masl) and Namulonge (1150 masl). The trials were
conducted for three seasons: namely 2000 (A and B) and 2001 (C) being
the first (A) and second (B) and third (C) seasons of the trials. Each
location for a particular season was regarded as one environment.
Genotypes 389484.20, 389685.2, 389698.12, 389584.22 and 389701.34
performed better than the other genotypes in all the five locations.
The G x E analysis was done using Additive Main effects and
Multiplicative Interaction (AMMI) and the biplot identified genotypes
389484.20, 391558.16, Victoria, 391558.5, 389584.22, Kisoro and
391558.13 as adapted to Bulegen C, Mbarara B, Namulonge B and C and
Tororo A, B and C. Genotypes 391558.11, 389685.2 and 391558.1 were
adapted to Kalengyere A. Namulonge B and C and Tororo A, B and C were
identified as similar environments basing on their responses.
Key
Words:
Adaptation, AMMI analysis, Phytophthora infestans, Solanum
tuberosum, yield stability
Résumé
Les
génotypes de patates à haut rendement (Solanum tuberosum)
avec des bons niveaux de résistance à la brunissure tardive étaient
identifiés à la station de recherche de Kalengyere en sud-ouest de
l’Ouganda. La stabilité du rendement de ces génotypes, cependant,
reste incertaine. Par exemple, la performance de ces génotypes a varié
au delà de 4 saisons d’évaluation et au moment de l’épreuve au
site de Kachwekano. L’étude d’intéraction génotype x
environnement était ainsi donc nécessaire pour déterminer leur
adaptation dans les différentes zones agro-écologiques où les génotypes
seront germés. Cinq sites en Ouganda aux élévations différentes étaient
séléctionnés pour l’étude notamment Kalengyere (2450 masl),
Bulegeni (1670 masl), Mbarara (1500 masl), Tororo (1250 masl) et
Namulonge (1150 masl). Les essais étaient conduits pour trois saisons :
nommément 2000 (A et B) et 2001 (C) étant la première (A) et la
seconde (B) et la troisième (C) saisons d’essais. Chaque
emplacement pour une saison particulière était regardée comme un
environnement. Les génotypes 389484,20 ; 389685,2 ;
389698,12 ; 389584,22 et 389701,34 ont eu une bonne performance
que les autres génotypes dans tous les cinq emplacements. L’analyse
de GxE était faite utilisant les principaux effets additifs et
multiplicatifs d’intéraction (AMMI) et les génotypes double
identifiés 389484,20 ; 391558,16 ; Victoria, 391558,5 ;
389584,22, Kisoro et 391558,13 comme adaptés à Bulegen C, Mbarara B,
Namulonge B et C et Tororo A, B et C. Les génotypes 391558,11;
389685,2 et 391558,1 étaient adaptés à Kalengyere A. Namulonge B et
C et Tororo A, B et C étaient identifiés comme des environnements
similaires en se basant sur leurs réponses.
Mots Clés:
Adaptation, analyse AMMI, Phytophthora infestans, Solanum
tuberosum, stabilité de rendement
RECOMMANDATIONS SPECIFIQUES D’ENGRAIS: CALIBRATION ET VALIDATION DU
MODULE PHOSPHORE DU MODELE NuMaSS
M.D.
Doumbia, A. Sidibé, A. Bagayoko, M. A. Diarra, A. Bationo1,
R. A. Kablan2,
R.S.
Yost2, L.R. Hossner3 et F.M. Hons3
Laboratoire
Sol- Eau -Plante, Institut d’Economie Rurale, BP 262, Bamako, Mali
1ICRISAT,
BP 2814, Niamey, Niger
2The
University of Hawaii, Honolulu, HI, USA
3Texas
A&M University, College Station, TX 77841, USA
Résumé
Les
recommandations d'engrais en vigueur au Mali et dans d’autres pays
de l’Afrique de l’Ouest furent faites selon la méthode Chaminade.
Pour des raisons socio-économiques, des doses permettant de corriger
les déficiences de nutriments majeurs furent vulgarisées. Ces
"recommandations uniques", quand elles sont appliquées,
entraînent un épuisement continu des réserves nutritives des sols.
L’objectif de cette recherche était de calibrer et valider le
module P du modèle NuMaSS (Nutrient Management Support System). Des
incubations de laboratoire furent d’abord faites afin de calibrer le
coefficient de pouvoir tampon nécessaire au module P. Les doses de N,
P et de chaux prédites par le modèle NuMaSS furent ensuite comparées
aux recommandations uniques d’engrais en plein champ afin de valider
ces recommandations spécifiques. Les coefficients de pouvoir tampon
sont inversement proportionnels à la teneur en argile des sols. Les
coefficients des sols sableux maliens de Cinzana (0,73) et nigériens
de Kollo P3 (0,64) sont plus élevés que ceux des sols argileux
maliens de Longorola-bf (0,22) et nigériens de Kollo P1 (0,21). En général,
les coefficients de pouvoir tampon obtenus par incubation de
laboratoire (0,60) ont tendance à être plus bas que ceux estimés
par le module P du modèle NuMaSS (0,67). La gamme de texture des sols
utilisés (de 1,5 à 56,4% d’argile) permet de retenir que les
coefficients de pouvoir tampons estimés par le module P de NuMaSS
sont corrects pour les sols exondés. Les rendements en grains des
différents essais et tests n’indiquent pas la supériorité
attendue des recommandations spécifiques d’engrais du modèle
NuMaSS par rapport aux recommandations uniques d’engrais en vigueur
(1624 et 1582 kg de grains de maïs par ha, respectivement).
Mots
Clés:
Pouvoir tampon, recommandation d’engrais, modèle
Abstract
Fertiliser
recommendations in Mali as well as in many other countries of West
Africa were made according to Chaminade’s method. For socio-economic
reasons, correcting deficiency rates of major nutrients were
vulgarized. These blanket recommendation, when applied, lead to a
continuous soil nutrient mining. The objective of this research was to
calibrate and validate the P module of NuMass. Laboratory incubations
were conducted to calibrate the P buffering coefficients used by the P
module. Rates of N, P and lime predicted by NuMass model, considered
as specific recommendations, were compared to the blanket
recommendations in the field in order to validate them. The buffer
coefficients were inversely proportional to the clay content. The
buffering coefficient of sandy soils of Cinzana/Mali (0.73) and
Kollo/Niger P3 (0.63) were higher compared to the clayey soils of
Longorola-bf (0.22) and Kollo/Niger (0.21). Generally, buffering
coefficients obtained by laboratory incubation (0.60) tended to be
lower than the estimated coefficient by the P module NuMass (0.67).
The range of the used soil texture (1.5-54.6 % clay) showed that the
buffering coefficients estimated by the P module of NuMass were
correct for flooded soils. Grain yield of different trials and tests
do not indicate the expected higher performance of specific
recommendations of fertilisers from NuMass model compared to the used
blanket recommendation (1624 and 1582 kg ha-1
of maize; respectively).
Key Words:
Buffering capacity, fertilizer recommendation, model
RECOVERY
OF WHEAT RESIDUE NITROGEN15 AND RESIDUAL EFFECTS OF N FERTILISATION IN
A WHEAT - WHEAT CROPPING SYSTEM UNDER MEDITERRANEAN CONDITIONS
L.L.
Ichir and M. Ismail1
Moulay
Ismail University, Faculty of Science and techniques, B.P. 509, 52000,
Boutalamine Errachidia, Morocco
1Moulay
Ismail University, Faculty of Science, B.P.4010,5000, Beni M’hamed
Meknes, Morocco
Abstract
For
cropping systems, quantification of the fate of fertiliser N and
residual N is essential, to develop management practices that optimise
N use efficiency. A field study was conducted in Saharan Morocco to
assess the fate of fertiliser N in a wheat (Triticum durum var.
Karim) - wheat cropping sequence. Therefore 85 kg ha-1 N as labelled
ammonium sulfate (9.764% atomic excess) was applied in a three-split
application. Fertiliser N recovery by wheat in the first year was
33.1%. At harvest, 64.8% of fertiliser N was found in the 0 - 80 cm
profile as residual fertiliser-derived N; 2.1% of the applied N could
not be accounted for year 1996/1997. The N unaccounted for was mainly
ascribed to denitrification. The recovery of the residual labelled
fertiliser N by the subsequent wheat crop was 6.4% for the treatment
without residue incorporation, and 7.4% in the case of residue
incorporation. The un recovered N after the second cropping season was
15.6 and 11.8% without and with residue incorporation, respectively.
Loss of labelled N by the soil-plant system was not due to leaching
but to denitrification. In the treatment (N+*R) with labelled residue
incorporation, the %N recovery by plants was 16.2%, indicating the
mineralisation of the residue applied.
Key
Words: Arid-Saharan, denitrification, immobilisation, leaching,
mineralisation, Triticum durum
Résumé
Pour
les sytèmes des cultures la quantification du sort des engrais N et
les résidus de N, il est essentiel de développer les pratiques de
gestion qui maximisent l’usage efficace de N. Une étude de terrain
était conduite dans le sahara maroccain pour évaluer le sort des
engrais N dans le blé (Triticum durum var. Karim) et la séquence
de système de culture basé sur le blé. Ainsi donc 85 kg ha-1 de N
comme sulfate d’ammonium étiqueté (9,764% d’exces atomique) était
appliqué dans trois phases. Le recouvrement des engrais N par le blé
en première année était de 33,1%. A la recolte 64,8% des engrais N
était trouvé dans le profile 0-80 cm comme engrais dérivé N résiduel ;
2,1% de N appliqué ne pourra pas être compté pour l’année
1996/1997. Le N non compté était principalement attribué à la
denitrification. Le recouvrement des engrais N résiduel étiqueté
par la plante de blé subséquent était 6,4% pour le traitement sans
incorporation de résidus, et 7,4% dans le cas d’incorporation de résidus.
Le N non-recouvert après la seconde saison de culture était
respectivement de 15,6 et 11,8% sans et avec incorporation de résidus.
La perte de N étiqueté par le système de plante-sol n’était pas
due à l’infiltration mais à la dénitrification. Dans le
traitement (N+R) avec incorporation de résidus étiquetés, le
pourcentage de recouvrement de N par les plantes était 16,2%,
indiquant la minéralisation des résidus appliqués.
Mots Clés:
Sahara aride, dénitrification, immobilisation, infiltration, minéralisation,
Triticum durum
INTERCROPPING
AND NITROGEN MANAGEMENT EFFECTS ON DIAMONDBACK MOTH DAMAGE AND YIELD
OF COLLARDS IN THE HIGHLANDS OF KENYA
M.
Said and F.M. Itulya
Department
of Horticulture, Egerton University, P. O. Box 536, Njoro, Kenya
Abstract
Collard
(Brassica oleracea var. acephala D.C) is an important
source of income to many smallscale farmers in Kenya and also is a
major dietary component for many Kenyans. The production of collards
is, however, constrained by several pests, with diamondback moth (Plutella
xylostella) larvae being the major pest. Control of the
diamondback moth larvae has mainly been by chemical sprays, which has
resulted in the problem of pest resistance and pollution to the
environment. This study was, therefore, an attempt to look into
alternative environmentally friendly ways of controlling diamondback
moth larvae in collards. Two studies were conducted in Egerton
University, Tatton Farm, Njoro, Kenya to determine the effects of
intercropping and nitrogen application on the diamondback moth larvae
population and damage, and yield of collard. Intercropping collard
with either beans (Phaseolus vulgaris L.) or onions (Allium
cepa) significantly lowered moth larvae populations and damage on
collard leaves compared to unsprayed collard monocrop. Overall, the
lowest larvae population and damage was recorded in insecticide
sprayed collard monocrop. Nitrogen application increased diamondback
moth damage on collard, but did not affect larvae populations.
Intercropping increased crop output per unit area of land, measured by
land equivalent ratios. Considering the harmful effects associated
with synthetic insecticides, these results indicate that intercropping
collard with either beans or onions can be effectively used to
suppress diamondback moth larvae population and damage in collards.
Key
Words:
Cropping systems, IPM, LER, Plutella xylostella
Résumé
Le
collier (Brassia oleracea var. acephala D.C) est une
importante source de revenue pour les nombreux petits fermiers au
Kenya et aussi un majeur composant alimentaire pour beaucoup des
Kenyans. La production du collier est cependant contrainte par
plusieurs insectes, avec les papillons nocturnes Plutella
xylostella comme l’insecte majeur. Le contrôle des larves de Plutella
xylostella a été principalement par pulvérisation des particles
chimiques laquelle a engendré le problème de résistance des
insectes et la pollution de l’environnement. Ainsi donc, cette étude
était une tentative de voir des voies alternatives,
environnementalement favorables, de contrôle de population et dégâts
des larves de Plutella xylostella dans les colliers. Deux études
étaient conduites à l’Université d’Egerton, et dans les fermes
de Talton et de Njoro au Kenya pour déterminer les effets
d’intercultures et l’application de l’azote sur la population et
les dégâts des larves de plutella xylostella et le rendement de
colliers. L’interculture de collier avec d’autres haricots (Phaseolus
vulgaris L.) ou les oignons (Allium cepa) a
significativement baissé les populations et les dégâts des larves
de Plutella xylostella sur les feuilles de colliers comparé à
la monoculture de collier non pulverisé. Globalement, la faible
population et dégâts était enregistrés dans la pulvérisation
d’insecticide en monoculture de collier. L’application d’azote a
augmenté les dégâts de Plutella xylostella sur les colliers, mais
n’avait pas affecté les populations des larves. L’interculture a
augmenté la production des plantes par unité de surface de terre,
mesurée par rapports à l’équivalent de terre. Considérant les
effets nuisibles associés avec les insecticides synthétiques, ces résultats
indiquent que l’interculture de collier avec les autres haricots ou
oignons peut être effectivement utilisée pour supprimer la
population et dégâts des larves de Plutella xylostella dans
les colliers.
Mots Clés:
Systèmes de cultures, IPM, LER, Plutella xylostella
INTERCROP
PRODUCTIVITY OF ROSELLE IN NIGERIA
F.E.
Fbabatunde
Crop
Production Programme, School of Agriculture & Agricultural
Technology, P.M.B. 0248. Abubakar Tafawa Balewa University, Bauchi.
Nigeria
Abstract
Roselle
(Hibiscus sabdariffa L.) is a crop of immense benefit within
small scale cropping systems in Nigeria as well as in most developing
countries of Africa. However, the productivity of roselle when
cultivated under intercropping arrangements as is often the case is
largely unknown. Therefore, field experiments were conducted to
investigate the influence of intercropping combinations on the
productivity and profitability of roselle. The study was conducted to
ascertain whether roselle would be better intercropped with either
legumes or cereals. From the results obtained, intercrop performance
and net farm income were better with the roselle-groundnut intercrop
than with other intercrop systems. The cash advantage due to
intercropping (CAI) was highest for roselle intercropped with
groundnut (Arachis hypogea) followed by intercropping with
cowpea (Vigna unguiculata). Yield of roselle was more reduced
when intercropped with the cereals (millet and sorghum) than for the
legumes (groundnut and cowpea). Roselle is more compatible with annual
legumes for intercropping than with cereals.
Key
Words:
Cereals, cropping systems, Hibiscus sabdariffa, legumes, yields
Résumé
La
roselle (Hibicus sabdariffa L.) est une plante aux bénéfices
immenses dans systèmes des petites cultures au Nigeria aussi bien que
dans la plupart des pays en développement d’Afrique. Cependant, la
productivité de la roselle cultivée en association, comme c’est
toujours le cas, est largement inconnue. Par conséquent, des expériences
de champs étaient conduites pour déterminer l’influence des
cultures associées sur la productivité de la roselle. L’étude était
conduite pour certifier si la performance de la roselle était
meilleure en association avec les légumes ou avec les céréales. A
partir des résultats obtenus la performance en association et le
revenu net de la ferme étaient mieux avec l’association
roselle-arachide par rapport aux autres associations. L’avantage monétaire
du à l’association était élévé pour la roselle-arachide (Arachis
hypogea) suivit de l’association roselle-niébé (Vigna
unguiculata). Le rendement de la roselle était plus réduite en
association avec les céréales (millet et le sorgho) comparé à son
association avec les légumes (arachide et le niébé). La roselle est
plus compatible en association avec les legumes que en association
avec les céréales.
Mots Clés:
Céréales, systèmes de cultures, Hibiscus sabdariffa, légumes,
rendement
SHORT
COMMUNICATION
EVALUATION
OF HOST-PATHOGEN INTERACTION OF MYCOVELLOSIELLA CAJAN WITH
PIGEONPEA
F.M.
Gatheca and A.W. Mwang’ombe1
National
Museums of Kenya Molecular Genetics Department, P. O. Box 40658,
Nairobi, Kenya
1Department
of Crop Protection, University of Nairobi, P. O. Box 30197, Nairobi,
Kenya
Abstract
Although
Mycovellosiella cajan is an important pathogen limiting
production of pigeonpea through transmission of Mycovellosiella leafspot,
little is known about the structural formation of either the host
(pigeonpea) or the fungus. Thus, this study was conducted to assess
any differences in structure as an indication of resistance in
pigeonpea genotypes to Mycovellosiella cajan. Germtube growth
was not different in either of the pigeonpea germplasms assessed.
Penetration in pigeonpea by Mycovellosiella cajan was inhibited
by production of stomatal exudates in resistant varieties. In
susceptible varieties germtube grew towards the stomata and penetrated
either directly or through the stomata. In resistant varieties
germtube bypassed the stomata and the point of penetration was not
easily noticed. Mycovellosiella cajan sporulated in susceptible
pigeonpea leaves 16 - 18 days after inoculation and in resistant
varieties, conidiophores were not observed even after 16 days. In
susceptible varieties there was rupturing of the stomata due to mass
production of conidiophores through the stomata.
Key
Words:
Cajanus cajan, germplasm, leafspots
Résumé
Malgré
que les Mycovellosiella cajan est un important pathogène
limitant la production de pigeonpea à travers la transmission de tâches
de Mycovellosiella cajan sur les feuilles, il y a une
connaissance limitée sur la formation structurale de l’hôte
(pigeonpea) ou du fongi . cette étude était conduite pour évaluer
toutes les différences dans la structure comme indication de la résistance
dans les génotypes du pigeonpea à la Mycovellosiella cajan.
La croissance des tubes de germes n’était pas différente dans le
pigeonpea et les germplasmes étudiés. La pénétration du Mycovellosiella
cajan était par la production de stomatal exudates dans les variétés
résistantes. Dans les variétés susceptibles, les tubes des germes
depassant le stomata et le point de pénétration étaient facilement
observés. Mycovellosiella cajan produit dans les feuilles de
pigeonpea susceptibles 16 à 18 jours après l’inoculation et dans
les variétés résistantes, les conidiophores n’étaient pas observés
même après 16 jours. Dans les variétes susceptibles, il y avait une
rupture du stomata à cause de la production de conidiophores à
travers le stomata.
Mots Clés:
Cajanus cajan, germplasme, mildiou.
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