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The African Journal of Urology

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Vol. 7, No. 2, May 2001
ABSTRACTS

ENDOSCOPIC MACROPLASTIQUETM INJECTION FOR THE TREATMENT OF FEMALE STRESS INCONTINENCE: ROLE AND EFFICACY

S. SOLIMAN AND C. EVANS

Department of Urology, Al-Azhar University, Cairo, Egypt and Glan Clwyd Hospital, Rhyl, North Wales, U.K.

Objectives To evaluate the role, safety and efficacy of endoscopic MacroplastiqueTM implants in the management of female stress incontinence.

Material and Methods Between 1995 and 1999, transurethral submucosal injection of MacroplastiqueTM was performed in 68 women (mean age 58 years, range 32 — 85 years) for the treatment of genuine stress incontinence. Fourteen patients had undergone previous surgery for incontinence that had failed to correct the problem. Under general or regional anaesthesia, the Macroplastique was injected sub-mucosally 1 cm distal to the bladder neck at 3, 6 and 9 o’ clock positions. In 26 cases the 12 o’ clock position was chosen to ensure a good occlusion of the bladder neck. The mean volume of Macroplastique injected was 3 ml.

Results At a mean follow-up of 19 months, 24 patients (35.3%) were dry, 18 patients (26.5%) were improved and 26 patients (38.2%) were still wet. Complications were all minor.

Conclusion Transurethral submucosal injection of MacroplastiqueTM should be used in women with mild to moderate stress incontinence who have failed to respond to physiotherapy. Being a minimally invasive day case procedure with low morbidity which can be repeated if necessary and has a satisfactory success rate, we believe Macroplastique implantation could be a good alternative line of treatment for stress incontinence.

Injection MacroplastiqueT.M. Endoscopique pour le Traitement de l’Incontinence de Stress Chez la Femme: Rôle et Efficacité

Objectif Evaluer le rôle, la sûreté et l’efficacité des implants macroplastiques, endoscopiques dans le traitement de l’incontinence de stress chez la femme.

Patientes et Méthodes Entre 1995 et 1999, l’injection sous muqueuse transuréthrale de macroplastiqueTM a été pratiquée chez 68 femmes (âge moyen: 58 ans, extrêmes: 32 — 58 ans) pour le traitement de l’incontinence de stress authentique. Quatorze patientes avaient bénéficié d’une chirurgie antérieure pour incontinence sans suite favorable. Sous anesthésie générale et régionale, le macroplastique a été injecté en sous muqueux à 1 cm en distal du col de la vessie aux positions 3, 6 et 9 heures. Dans 26 cas la position 12 heures a été choisie pour assurer une bonne occlusion du col de la vessie. Le volume moyen de macroplastique injecté était de 3 ml.

Résultats A un suivi moyen de 19 mois, 24 patientes (35,5%) étaient sèches, 18 patientes (26,5%) étaient améliorées et 26 patients (38,2%) étaient toujours mouillées. Toutes les complications étaient mineures.

Conclusion L’injection sous muqueuse transuréthrale de macroplastiqueTM devrait être utilisée chez les femmes ayant une incontinence urinaire mineure n’ayant pas répondu à la physiothérapie. Etant une procédure de l’hôpital du jour (chirurgie ambulante) peu invasive, avec faible morbidité, qui peut être répétée en cas de nécessité et qui a un taux de succès satisfaisant, nous croyons que l’implantation macroplastique pourrait être une bonne méthode alternative de traitement pour l’incontinence de stress.

PRIMARY RENAL MASSES IN CHILDREN IN CAMEROON: A PLEA FOR PRE-TREATMENT HISTOLOGY

F.F. ANGWAFO III AND D.D. LONG

Departments of Surgery and Specialties, Faculty of Medicine and Biomedical Sciences, University of Yaoundé I, Yaoundé, Cameroon and Howard University College of Medicine, Washington, D.C., USA

Objectives To determine, if patients should receive chemotherapy on clinico-radiologic basis, without a histologic diagnosis.

Patients and Methods This was a retrospective review of all cases of paediatric renal tumors collated from the pathology register at the Yaoundé General Hospital and Yaoundé University Teaching Hospital over a 15-year period. Clinical data and histology results were entered into an Epi-Info 5.1 database and analyzed. There were a total of 29 patients, 18 (62.1%) males and 11 (37.9%) females. The mean age was 6.4 years, median 5 years and the range from 1 to 20 years. Twenty-eight patients (96.6%) had a palpable mass, 16 (55.2%) haematuria, 8 (27.6%) anaemia, 5 (17.2%) weight loss, 2 (6.9%) bone pain and in 1 (3.4%) the renal mass was detected on ultrasound of the abdomen for suspected urinary infection. The symptom duration before presentation ranged from one to seven months with a mean of 2.5 months. Twelve patients (41.4%) presented within two months.

Results Twenty-seven (93.1%) patients had malignancy, whereas two (6.9%) had benign tumors. Twenty-one (72.4%) had nephroblastomas, 4 (13.8%) had lymphomas, 2 (6.9%) had adenocarcinomas and one (3.4%) each had mesenchymoma and angiomyo-lipoma. Survival data were available in 18 of the 27 patients with malignant tumors. Two patients with lymphoma survived more than 3 years (33.3%) and one patient with papillary adenocacinoma survived 7 years (16.7%). Fifteen of 21 patients (71.4%) with nephro-blastoma survived past 5 years.

Conclusion While nephroblastoma is the most common tumor cell type, lymphomas and adenocarcinomas occur in over 20% of children with renal tumors. Therefore, prior to chemotherapy and radiotherapy, it is imperative to make a histologic diagnosis so as to determine the most suitable treatment protocol.

Masses Rénales Primaires chez l’Enfant au Caméroun: Plaidoyer pour une Histologie avant-Traitement

Objectif Déterminer si les enfants avec tumeurs rénales devraient recevoir la chimiothérapie sur des bases clinico-radiologiques sans un diagnostic histologique.

Patients et Méthodes C’était une revue rétrospective de tous les cas de tumeurs rénales pédiatriques colligés des régistres de pathologie de l’Hôpital Général de Yaoundé et du Centre Hospitalier et Universitaire de Yaoundé sur une période de 15 ans. Les données cliniques et les résultats histologiques ont été introduits et analysés dans le logiciel Epi-Info 5.1. Il y avait un total de 29 patients, 18 (62,1%) garçons et 11 (37,9%) filles. L’âge moyen était de 6,4 ans avec une médiane de 5 ans et les extrêmes de 1 et 17 ans.

Résultats Vingt-huit patients (96,6%) avaient une masse palpable, 16 (55,2%) une hématurie, 8 (27,6%) une anémie, 5 (17,2%) une perte de poids, 2 (6,9%) des douleurs osseuses et 1 (3,4%) une masse rénale détectée à l’échographie abdominale pour infection urinaire suspectée. L’ancienneté des symptômes avant la présentation variait d‘un à sept mois avec une moyenne de 2,5 mois. Douze patients (41,4%) s’étaient présentés dans deux mois. Vingt-sept (93,1%) patients avaient des tumeurs malignes tandis que deux (6,9%) avaient des tumeurs bénignes. Sur le plan histologique, il y avait 21 (72,4%) néphroblastomes, 4 (13,8%) lymphomes, 2 (6,9%) adénocarcinomes, 1 (3,4%) mésen-chymome et 1 (3,4%) angiomyolipome. Les données sur la survie étaient disponibles chez 18 patients seulement sur les 27 qui avaient des tumeurs malignes. Deux patients avec lymphomes ont survécu plus de 3 ans (33,3%) et un patient avec adénocarcinome papillaire a survécu 7 ans (16,7%). Quinze des 21 patients (71,4%) avec néphroblastome ont survécu plus de 5 ans.

Conclusion Quoi que le néphroblastome est le type de cellule tumorale le plus fréquent, les lymphomes et les adéno-carcinomes surviennent chez plus de 20% des enfants avec tumeurs rénales. Il est donc impératif, avant la chimiothérapie et la radiothérapie, de faire un diagnostic histologique pour déterminer le protocole thérapeutique qui convient le mieux.

TRANSRECTAL ULTRASOUND-GUIDED BIOPSY A PROSPECTIVE STUDY OF PATIENTS TOLERANCE AND COMPLICATIONS

A.A. ELABBADY

Department of Urology, Faculty of Medicine, University of Alexandria, Alexandria, Egypt

Objectives To determine the morbidity and patient tolerance of TRUS-guided biopsy from suspected malignant prostate or pelvic recurrence after radical cystectomy.

Patients and Methods This prospective study comprised 113 patients who underwent TRUS-guided biopsy from the prostate or from pelvic recurrence following radical cystectomy. The patients’ tolerance was assessed by scoring the severity of discomfort during the procedure and their acceptance was estimated by questionnaires following it.

Results Most patients (56.6%) experienced either no discomfort at all or only mild pain during the procedure. Intravenous sedation was needed in 31% of the patients and general anaesthesia was necessary in two patients. Haematuria was the commonest complication (59.6%) followed by rectal bleeding and haemospermia, which occurred in 36.7% and 17.4% of the patients, respectively. A vasovagal attack occurred in one patient. There was one major complication, a prostatic abscess which resulted in a temporary urethro-rectal fistula.

Conclusion TRUS-guided core biopsy is safe with frequent minor but` very rare major complications. The majority of the patients tolerate the procedure with accepted discomfort but a considerable number of patients need sedation to complete the procedure effectively.

Biopsie Transrectale Echoguidée: Etude Prospective de la Tolérance des Patients et des Complications

Objectif Evaluer la tolérance et l’acceptance des patients de la biopsie transrectale échoguidée. Patients et Méthodes Cette étude prospective comprenait 113 patients qui ont bénéficié d’une biopsie transrectale échoguidée de la prostate ou d’une récurrence pelvienne après cystectomie radicale. La tolérance des patients était évaluée en cotant la sévérité du disconfort pendant la procé-dure et leur acceptance était estimée par des questionnaires ensuite.

Résultats La plupart des patients (56,6%) ne ressentaient pas du tout de disconfort ou ressentaient seulement une douleur mineure pendant la procédure. Une sédation intraveineuse a été nécessaire chez 31% des patients et une anesthésie générale a été nécessaire dans 2 cas. L’hématurie était la complication la plus fré-quente, suivie de rectorragies et d’hématospermie survenues chez 36,7% et 17,4% des patients, respectivement. Une attaque vaso-vagale est survenue chez un patient. Il y avait une complication majeure: un abcès prostatique ayant évolué à une fistule uréthro-rectale temporaire. Conclusion La biopsie transrectale échoguidée est anodine, ses complications mineures sont fréquentes mais les complications majeures sont très rares. La majorité des patients tolèrent la procédure avec disconfort accepté mais un nombre considérable de patients nécessitent une sédation pour compléter efficace-ment la procédure.

INTERNAL OPTICAL URETHROTOMY IN THE MANAGEMENT OF URETHRAL STRICTURES IN NIGERIANS: TECHNIQUE AND OUTCOME

O.B. SHITTU

Urology Unit, Department of Surgery, University College Hospital, Ibadan, Nigeria

Objectives To evaluate the role of internal optical urethrotomy in the management of patients with urethral strictures seen at the University College Hospital, Ibadan, Nigeria.

Patients and Methods The study was carried out over a five year period. The details of the technique used, including measures taken to ensure that the stricture tract is not lost during urethrotomy are described. A total of 40 patients with urethral strictures were treated by internal optical urethrotomy during the study period with an age range of 26-80 years (mean 42.2 years). The aetiology of the stricture was post-infective in 80% of the cases.

Results Seventy-five percent of the patients have maintained a satisfactory flow rate of between 15 ml/sec and 28 ml/sec with a mean flow rate of 23 ml/sec after a single attempt at urethrotomy and over a period of follow-up of between 6 months and 5 years.

Conclusion Internal optical urethrotomy can be effective in the management of patients with post-infective urethral strictures that do not involve the membranous urethra, and should be attempted in the first instance where the facility exists, particularly as a failed urethrotomy does not jeopardize the management of the stricture by other techniques.

Uréthrotomie Optique Interne dans le Traitement du Rétrécissement Uréthral chez les Nigerians: Techniques et Résultats

Objectif Evaluer le rôle de l’uréthrotomie optique interne dans le traitement des patients avec rétrécissment uréthral vus au Centre Hospitalier d’Ibadan au Nigéria.

Patients et Méthodes L’étude a été menée pendant une période de 5 ans. Les détails des techniques utilisées, incluant les mesures prises pour s’assurer que la voie rétrécie n’est pas perdue pendant l’uréthrotomie sont décrites. Un total de 40 patients avec rétrécissement uréthral ont été traités par uréthrotomie optique interne pendant la période d’étude avec l’âge qui variait de 26 à 80 ans (moyenne: 42,2 ans). L’étiologie du rétrécissement était post-infectieuse dans 80% des cas.

Résultats Soixante-quinze pour cent des patients ont maintenu un débit urinaire satisfaisant entre 15 ml/sec et 28 ml/sec avec un débit moyen de 23 ml/sec après une seule séance d’uréthrotomie et sur une période de suivi allant de 6 mois à 5 ans.

Conclusion L’uréthrotomie optique interne peut être efficace dans le traitement des patients avec rétrécissement uréthral post-infectieux n’affectant pas l’urètre membraneux, et devrait être pratiquée d’emblée où les facilités existent, car l’échec de l’uréthrotomie ne coupe pas les ponts pour le traitement du rétrécissement par d’autres techniques.

THE URODYNAMIC FEATURES OF ORTHOTOPIC ILEAL RESERVOIRS: A COMPARISON BETWEEN HEMI-KOCK POUCH AND "W" NEOBLADDER

M.S. EL-BAHNASAWY, Y. OSMAN AND A.A. SHAABAN

Urology and Nephrology Center, Mansoura, Egypt

Objectives To evaluate the urodynamic characteristics of the hemi-Kock and "W"-configured ileal reservoirs utilized for orthotopic urinary diversion after radical cystoprostatectomy in our center. Patients and Methods One hundred patients (52 with hemi-Kock and 48 with "W" neobladders) who were free of stones, strictures or reflux after one year of follow-up were evaluated. Clinical and bacteriological examinations were done for every case. Radiological evaluation was done prior to inclusion of the patients in the study to exclude the presence of pouch stones, strictures of the urethra or pouch-ureteral reflux. Urodynamic studies were done including uroflowmetry, medium-fill enterocystometry and urethral pressure profilometry.

Results A univariate analysis showed a comparable outcome of both reservoirs regarding continence rate, voiding efficiency and bacteriological studies. The enterocystometric characteristics were comparable in both groups except for two variables. The pressure at maximum pouchometric capacity was significantly higher in the hemi-Kock pouch (mean 26.7 ± 10.8 cm H2O) than in the "W" neobladder (mean 21.7 ± 10.7 cm H2O) (P=0.02). Also, the compliance in the last 5 minutes of filling was significantly less in the hemi-Kock pouch (mean 28.3 ± 14.5 ml/cm H2O) than in the "W" neobladder (mean 40.5 ± 25.9 ml/cm H2O) (P=0.003). The urethral pressure profiles as well as flow rates of "W" and hemi-Kock pouches (16.7 ± 8.3 and 17.7 ± 7.4 ml/sec, respectively) were also comparable.

Conclusion Both types of reservoirs have near optimum urodynamic properties with an excellent functional outcome. There are few pouchometric differences, which in our study did not affect the functional outcome of the procedure.

Les Caractéristiques Urodynamiques des Réservoirs Iléaux Orthotopiques: Une Comparaison entre l’Hémie-Poche de Kock et la Neovessie en „W"

Objectif Evaluer les caractères urodynamiques des réservoirs iléaux configurés en „W" et de l’hémie-poche de Kock utilisés pour la dérivation urinaire orthotopique après cystoprostatectomie radicale dans notre centre.

Patients et Méthodes Cent patients (52 avec hémie-poche de Kock et 48 avec néovessie en „W") qui n’avaient ni calculs, ni rétrécissement, ni réflux après un an de suivi ont été évalués. Les examens cliniques et bactériologiques ont été pratiqués chez chaque patient. L’évaluation radiologique a été faite avant l’inclusion de chaque patient dans l’étude pour exclure la présence de calcul dans la poche, de rétrécissement uréthral et de réflux poche-urétéral. Les études urodynamiques pratiquées comprenaient la débimétrie, l’entérocystométrie à moitié pleine et la profilométrie de la pression uréthrale.

Résultats Une analyse univariable a montré un résultat comparable des deux réservoirs en tenant compte du degré de continence, de l’efficacité de la vidange et des études bactériologiques. Les caractères entérocystométriques étaient comparables dans les deux groupes sauf pour 2 variables. La pression à la capacité maximale pouchométrique était significativement élevée dans l’hémie-poche de Kock (moyenne: 26,7 ± 10,8 cm H2O) que dans la néovessie en „W" (moyenne: 21,7 ± 10,7 cm H2O) (p = 0,02). La compliance de remplissage dans les 5 dernières minutes était aussi significativement basse dans l’hémie-poche Kock (moyenne: 28,3 ± 14,5 ml/cm d’H2O) que dans la néovessie en „W" (moyenne: 40,5 ± 24,9 ml/cm d’H2O) ( p = 0,003). Les profiles des pressions uréthrales aussi bien que les débits de l’hémie-poche de Kock et de la néovessie en „W" (16,7 ± 8,3 et 17,7 ± 7,4 ml/sec, respectivement) étaient aussi comparables.

Conclusion Les deux types de réservoirs ont des propriétés urodynamiques optimales voisines avec un excellent résultat fonctionnel. Ils ont quelques différences pouchométriques, qui dans notre étude n’affectent pas le résultat fonctionnel de la procédure.

RETROPERITONEAL LAPAROSCOPIC TREATMENT OF LARGE URETERAL CALCULI NOT AMENABLE FOR LESS INVASIVE PROCEDURES

F.G. ELANANY

Department of Urology, Assiut University Hospital, Assiut, Egypt

Objectives To evaluate retroperitoneal laparoscopic ureterolithotomy as an alternative line of treatment for ureteral stones not amenable for other less invasive procedures.

Patients and Methods Retroperitoneal laparoscopic ureterolithotomy was tried in 34 patients with impacted upper ureteral stones (27 patients) and middle ureteral stones (7 patients). Mean stone size was 16 mm. Twenty-six patients were males and 8 were females with a mean age of 36 years (range 18 — 54 years).

Results The procedure was successful in 29 cases (85.3%), while 5 cases (14.7%) required open surgery. The mean operative time was 55 minutes (range 25 — 90 minutes). No major intraoperative complications were encountered. No blood transfusion was required. Mean hospital stay was 6 days. Postoperative complications in the form of prolonged urinary leakage and high-grade fever occurred in 2 patients (5.9%) and 1 patient (2.9%), respectively.

Conclusion Retroperitoneal laparoscopic ureterolithotomy is a good minimally invasive alternative line of treatment for ureteral stones in cases not amenable for ESWL or endoscopy. However, it takes a long learning curve. Moreover, a careful case selection and good working instruments are necessary for success.

Traitement Laparoscopique Rétropéritonéal des Grands Calculs Urétéraux Non Soumettables aux Procédures Moins Invasives

Objectif Cette étude était focalisée sur l’évaluation de l’urétérolithotomie laparoscopique rétropéritonéale comme attitude alternative de traitement des calculs urétéraux non soumettables aux autres procédures moins invasives.

Patients et Méthodes L’urétérolithotomie laparoscopique rétropéritonéale a été pratiquée chez 34 patients avec calculs urétéraux hauts enclavés (27 patients) et calculs de l’urètre moyen (7 patients). La taille moyenne du calcul était de 16 mm. Vingt-six patients étaient des hommes et 8 étaient des femmes avec un âge moyen de 36 ans (extrêmes de 18 et 54 ans).

Résultats La procédure a été pratiquée avec succès dans 29 cas (85,3%), tandis que 5 patients (14,7%) ont finalement été traités par chirurgie ouverte. La durée moyenne de l’intervention était de 55 minutes (extrêmes de 25 et 90 minutes). Aucune complication majeure peropératoire n’a été observée. Aucune transfusion n’a été requise. La durée moyenne d’hospitalisation était de 6 jours. Les complications post-opératoires sous forme de fuite urinaire prolongée et fièvre élevée sont survenues chez 2 patients (5,9%) et 1 patient (2,9%), respectivement.

Conclusion L’urétérolithotomie laparoscopique rétropéritonéale est une bonne attitude alternative peu invasive pour le traitement des calculs urétéraux dans les cas non soumettables à lithobiopsie extracorporelle par ondes de choc ou à l’endoscopie. Cependant, elle prend une longue courbe d’apprentissage. De plus, une bonne sélection de cas et de bons instruments de travail sont nécessaires au succès.

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