African
Journals Online
Ghana Journal of Agricultural Science
VOLUME 33 (2000) PART TWO
ABSTRACTS/RÉSUMÉ
Plant growth analysis of
maize (Zea mays L.) inter-cropped with cassava (Manihot esculentus
Cranz)
J. N. Asafu-Agyei, S. Ohemeng-Dapaah & D. M. Osafo
Crops Research Institute, Council for Scientific and
Industrial Research, P. O. Box 3785, Kumasi, Ghana
Abstract
Growth analysis was used in
an investigation as an aid in the quantitative interpretation of plant growth
of different stands of two maize (Zea mays L.) varieties (‘Dorke’ and
‘Dobidi’) and two cassava varieties (‘Bosome Nsia’ and ‘Ankra’) established as
intercrops in experiments at Fumesua (1986) and Kwadaso (1987) in Kumasi (6°
43' N 1° 36' W) The trials were conducted in a randomised complete block design
with a 24 factorial arrangement of four main factors. There were
four blocks per trial. In Trial 1 (Fumesua 1986 first (major) rainy season),
the treatments in the intercrop were maize variety (‘Dorke’ and ‘Dobidi’),
maize density (20 000 and 40 000 plants/ha), cassava variety (‘Bosome Nsia’ and
‘Ankra’), and maize fertilization (45 and 180 kg/ha N). In Trial 2 (Kwadaso
1987 second (minor) rainy season), the treatments in the intercrops were
similar to those of 1986 at Fumesua, except that the maize fertilization
treatment was replaced by a cassava density treatment at 10 000 and 20 000
plants/ha. The use of this analysis to detect differences in growth between
years for one variety and between varieties in one year was essential in this
analytical approach to crop studies. The investigations pointed out the
genotypic and phenotypic differences in growth between varieties and their
relationship to economic yield. Leaf area development (LAD) was important in
the accumulation of dry matter and led to higher grain yield in maize. As
expected, the early-maturing variety (‘Dorke’) showed a pronounced decline in
leaf area towards the end of the growth cycle, while in the full-season variety
(‘Dobidi’) this decline was less pronounced, resulting in the production of
more dry matter late in the growth cycle. A higher peak of leaf area could not
alone account for the estimated 20 per cent higher grain yield of ‘Dobidi’ over
‘Dorke’. Leaf longevity estimated by the values of LAD calculated seemed to
have an important influence on yield. The comparisons made indicated that for
intercropped maize the magnitude of the shoot dry weight differences between
varieties did not relate to grain yield differences. Growth rates did not
relate directly to yield either. Important factors that were not estimated but
might have contributory effects appeared to be the duration of the
grain-filling period and photosynthetic rates which prevailed during the
period. All the growth functions declined significantly and rapidly as the
plant matured, suggesting a progressively declining rate of dry matter
increase.
Analyse de la croissance de plante du maïs (Zea mays
L.) semi en lignes alternantes avec le manioc (Manihot esculentus Cranz)
Asafo-Agyei, J. N., Ohemeng-Dapaah, S. & Osafo, D. M.
Résumé
Analyse de croissance était
utilisée dans une enquête en tant qu'une aide à l'interprétation quantitative
de la croissance de plante des différentes récoltes sur pieds des deux variétés
('Dorke' et 'Dobidi') de maïs (Zea mays L.) et deux variétés ('Bosome
Nsia' et 'Ankra') de manioc (Manihot esculentus Cranz) enraciné comme
deux cultures semées en lignes alternantes dans les expériences à Fumesua (1986)
et Kwadaso (1987) à Kumasi (6o 43o N, 1o 36o
W). Les essais se sont déroulés dans un dessin de bloc complet choisi au hasard
avec 24 arrangement factoriel de 4 facteurs principaux. Il y avait 4
blocs par essai. En Essai 1 (Fumesua 1986 première saison des pluies (majeure),
les traitements dans les deux cultures semées en lignes alternantes étaient:
variété de maïs ('Dorke' et 'Dobidi'), densité de maïs (20,000 et 40,000
plantes/ha); variété de manioc ('Bosome Nsia' et 'Ankra') et fertilisation de
maïs (45 et 180 kg/ha N). En Essai 2 (Kwadaso 1987 seconde saison des pluies
(mineur), les traitements dans les deux cultures semées en lignes alternantes
étaient semblables à ceux de 1986 à Fumesua, sauf que le traitement de
fertilisation de maïs était remplacé par un traitement de densité de manioc à
10,000 et 20,000 plantes/ha. Son usage de cette analyse à détecter des
différences en croissance entre les années d'une variété et entre les variétés
en une année était essentiel dans cette façon analytique d'aborder les études
de culture. Les enquêtes signalaient les différences génotypiques et
phénotypiques en croissance entre les variétés et leur rapport avec le
rendement économique. Le développement de la surface foliaire (DSF) était
découvert d'être important à l'accumulation de matière sèche et menait au
rendement plus élevé de grain de maïs. Comme espéré la variété ('Dorke') de
maturation tôt montrait une diminution marguée dans la surface foliaire vers la
fin du cycle de croissance, alors que dans la variété ('Dobidi') de pleine
saison cette diminution était moins marguée, aboutissant à la production de
plus de matière sèche tard dans le cycle de croissance. Un maximum élevé de la
surface foliaire seul ne pourrait pas justifier le 20 pour cent d’estimation de
rendement de grain plus élevé de ‘Dobidi’ au-dessus de ‘Dorke’. La longévité de
fueille estimée par les valeurs de DSF calculé semblait d’avoir une influence
importante surle rendement. Les comparaisons faites indiquaient que pour le
maïs semé en lignes alternantes l’ampleur des différences entre le poids de la
pouse sèche des varieties n’ont pas de rapport avec les différences de
rendement de grain. Les proportions de croissance n’ont pas de rapport direct
avec le rendement non plus. Les facteurs importantes qui n’étaient pas estimées
maïs auraient pu avoir des effets contribuants semblaient être la durée du
stade de remplissage des grains et les proportions photosynthétiques, que
régnaient pendent le stade. Toutes les functions de croissance diminuaient considérablement
et rapidement comme la plante mûrissait, suggérant une proportion de diminution
progressive de l’augmentation de la matière.
Evaluation of bioavailable phosphorus in some acid soils
of Ghana using 32p isotopic exchange method
E. Owusu-Bennoah, J. C. Fardeau & F. Zapata
(E. O.-B.: Department of Soil Science, University of
Ghana, Legon, Ghana; J. C. F.: Service de Radio-Agronomie, Centre d 'Etude
Nucleaire de Cardarache, No.1, 13115 Saint-Paul-Luz-Durance, France; F. Z.:
International Atomic Energy Agency, P.O. Box 100, Austria)
Abstract
An adequate knowledge about
bioavailable soil P of highly weathered tropical acid soils is a pre-requisite
to their sustainable management for food production. The objective of this
study was to characterize the bioavailable soil P status of six highly
weathered low activity clay (LAC) soils from SW Ghana by using an isotopic
exchange method. The bioavailable P was characterized by three factors, i.e
intensity, quantity, and capacity inferred from experimental parameters that
describe the dynamics of soil phosphorus through isotope exchange of phosphate
ions and represented by a functional model with five compartments in which the
pools have been defined according to their mean exchange time with the
phosphate in soil solution. The results indicated that all the LAC acid soils
had very low P fertility status as reflected by the low P concentration in
solution, Cp (<0.02 mg P 1-1), low exchangeable P, E1min (<5.0
mg P kg-1), and high P fixation capacity, r1/R (0.24)
with the exception of one soil. The compartmental analysis also showed that an
average of 45 % of the total P pool could not be exchanged within 1 year while
0.53 % of it was exchangeable within 1 min. These results are consistent with
the numerous exchange sites located on the oxides of the LAX acid soils. In
addition, the study showed that the r1/R parameter correlated
significantly with Pmax derived from P sorption isotherms and the
SPR, i.e., the amount of P sorbed at a concentration of 0.2 mg P 1-1.
It was concluded that the 32P isotopic exchange method was useful
for the determination of bioavailable P and also for estimating soil-fixing
capacity of these low-activity clay acid soils of Ghana.
Evaluation de phosphore
biodisponible en quelques sols acides du Ghana employant la méthode d'échange
isotopique de 32P
Owusu-Bennoah, E., Fardeau, J. C. & Zapata, F.
Résumé
Une connaissance adéquâte du
P de sol biodisponible des sols acides de tropique fortement erodés est une
condition préalable à leur exploitation soutenue pour la production
alimentaire. L'Objectif de cette étude était de caractériser l'état du P de sol
biodisponible de six sols d'argile de
moins d' activité (AMA) fortement érodés du Sud-Ouest du Ghana employant
une méthode d' échange isotopique. Le P biodisponible était caractérisé par
trois facteurs, c.-à-d. intensité, qualité et capacité inférées des paramètres
d' expérience qui décrivent le dynamisme de phosphore de sol à travers l'
échange d'isotope d'ions de phosphate et représenté par un modèle fonctionnel
avec cinq subdivisions dans lesquels les pools ont été défini selon leurs temps
d'échanges moyens avec le phosphate en solution de sol. Les résultats
indiquaient que tous les sols acides d' AMA avaient de très bas niveaux de
fertilité de P comme traduit par la basse concentration de P en solution, Cp
(< 0.02 mg P l-1), P échangeable bas, Elmin (<5.0 mg P kg-1)
et une capacité élevé de la fixation de P, r1/R (0.24) à l'exception
d' un sol. Les analyses de subdivisions montraient également qu'un moyen de 45
% de la totalité du pool de P ne pourrait pas être échangé en une année alors
que 0.53 % en ai échangé dans 1min. Ces résultats sont en accord avec la
présence de plusieurs sites d' échange situés sur les oxides de l'AMA des sols
acides. En plus, l' étude montrait que le paramètre de r1/R
correlait considérablement avec Pmax dérivé d' isothermes de
l'absorption de P et le SPR c.-à-d. la quantité de P absorbée à une
concentration de 0.2 mg P l-1. La conclusion était tirée que 32P
méthode d'échange isotopique était utile pour la détermination de P
biodisponible et aussi pour l'estimation de la capacité de fixation de sol de
ces sols d'argile de moins d'activité du Ghana.
Infiltration and sorptivity studies on some landform technologies for
managing Vertisols
E. K. Asiedu, Y. Ahenkorah, M. Bonsu & J. W. Oteng
(E. K. A.: Soil Research Institute, Council for Scientific
and Industrial Research, Kwadaso-Kumasi, Ghana; Y. A.: Department of Soil
Science, University of Ghana, Legon, Ghana; M. B.: Department of Soil Science,
School of Agriculture, University of Cape Coast, Cape Coast, Ghana; J. W. O.:
University of Ghana Agricultural Research Station, Kpong, Ghana)
Abstract
Infiltration and sorptivity
were studied under four different Vertisol management technologies on the Accra
Plains of Ghana. The technologies were the cambered bed, the Ethiopian bed, the
ridge, and the flat bed. The initial values of both cumulative infiltration and
infiltration rate were highest in the cambered bed. This was followed by the
ridge, the Ethiopian bed, and the flat bed in that decreasing order. The
terminal infiltration rates were quite similar for all the landforms and were
about 0.05 m/s. Field-measured sorptivity followed the order: cambered
bed>ridge>Ethiopian bed>flat bed. The results of the study on
sorptivity were used to predict the relative time-to-incipient ponding of the
various landform technologies. It was deduced that the cambered bed would take
the longest time, and the flat bed the shortest time to get ponded. The
time-to-incipient ponding of the ridge and Ethiopian bed were intermediate. The
study showed that the cambered bed would be the best technology for
agricultural productivity on the Vertisol in the wet season, while the flat bed
is the least desirable, with the ridge and the Ethiopian bed being
intermediaries.
Etudes sur l'infiltration et l'absorptivité de quelques
technologies de forme de terrain pour l'exploitation de vertisols
Asiedu, E. K., Ahenkorah, Y., Bonsu, M. & Oteng, J. W.
Résumé
L' infiltration et
l'absorptivité étaient étudiées sous quatre différentes technologies d'
exploitation de vertisols sur les plaines d' Accra du Ghana. Les technologies
étaient (1) la couche cambrée (2) la couche éthiopienne (3) la crête et (4) le
plateau. Les valeurs initiales de l'infiltration cummulative et de la vitesse
d' infiltration à la fois étaient trouvées d' être les plus élevées dans les
couches cambrées. Ceci était suivi par la crête, la couche éthiopienne et le
plateau dans cet ordre décroissant. Les vitesses finales d' infiltration
étaient tout à fait semblables pour tout les formes de terrain et étaient
approximativement 0.05 m/s. L' absorptiviti évaluée sur le terrain suivait
l'ordre: la couche cambrée > la crête > la couche éthiopienne > le
plateau. Les résultats de l'étude sur l'absorptivité se sont servi à prédire le
temps relatif de blocage naissant de différentes technologies de forme de
terrain. Il était déduit que la couche cambrée prendra le plus long temps et le
plateau prendra le plus court temps d' être bloqué. Le temps de blocage
naissant de la crête et de la couche éthiopienne étaient intermédiaires. L'
étude montrait que la couche cambrée pourrait être la meilleure technologie
pour la productivité agricole sur le vertisol pendant la saison humide, alors
que le plateau est le moins désirable avec la crête et la couche éthiopienne
étant les intermédiaires.
Constraints to Guinea fowl production in northern Ghana:
A case study of the Damongo area
G. A. Teye & M. Adam
Department of Animal
Science, University of Development Studies, Tamale, Ghana
Abstract
A study was conducted in the
Damongo area to identify major constraints to Guinea fowl production. The
survey involved 35 farmers chosen randomly from Damongo and four other villages
within 5 km radius of Damongo. All the farmers (100 %) indicated that high keet
mortality, difficulty in sexing, and absence of a source of quality day-old
keets were the main constraints. The other problems identified were lack of
information about nutrient requirements of the local Guinea fowl, loss of birds
and eggs through picking by predators, worm infestation, and taming of birds.
The farmers indicated that Guinea fowl production is lucrative because there is
a high demand for the meat and eggs.
Contraintes à l' élevage de pintade au nord du Ghana: Une
étude de cas de la zone de Damango
Teye, G. A. & Adam, M.
Résumé
Une étude s'est déroulée
dans la zone de Damango pour identifier les contraintes majeures envisagées
dans l'élevage de pintade. L'enquête comprennait 35 éleveurs choisis au hasard
de Damango et quatre autres villages dans un rayon de cinq kilomètres de
Damango. Tous les éleveurs (100 %) indiquaient que la mortalité de pintadeau
élevé, la difficulté de la détermination de sexe et l' absence d'une source de
pintadeau d' un jour de qualité sont les contraintes majeures. D'autres
problèmes identifiés sont: le manque d' information des besoins nutritifs de la
pintade locale, la perte des volailles et des œufs à travers la prise par les
prédateurs, l'infestation de ver, et l'apprivoisement des volailles. Les
éleveurs indiquaient que l'élevage de pintade est rentable parce qu'il y a une
haute demande pour la viande et les œufs à la fois.
Improving the growth of cashew (Anacardium occidentale)
seedlings interplanted into mature sheanut stands in northern Ghana
K. Opoku-Ameyaw & M. R. Appiah Cocoa Research Institute of Ghana (CRIG), P. O. Box 8, New Tafo-Akim, Ghana
Abstract
The effects of sulphate of
ammonia and cowdung application on the growth of young cashew (Anacardium
occidentale) seedlings within mature sheanut stands were studied in two
field experiments in the savanna ecological zone of northern Ghana. A basal
application of 22 and 21 g/plant of muriate of potash and triple superphosphate,
and in addition to application of sulphate of ammonia at the rate of 0.70, and
140 g/plant significantly (P<0.05) increased plant height and girth
and number of leaves per plant in one experiment. The effect of cowdung applied
at 7 kg/plant was not significant (P<0.05) in any of the trials and
was attributed to probably a slow rate of mineralization. Basal application of
higher rates of muriate of potash and triple superphosphate at 40 and 100
g/plant, respectively, in addition to the sulphate of ammonia treatments in one
experiment resulted in the development of leaf symptoms which were similar to
those caused by boron deficiency. The need for further studies to validate the
observation made is highlighted.
Améliorant la croissance des semis d'anacardier (Anacardium
occidentale) plantés entre les lignes des parcelles de karité mûr au nord
du Ghana
Opoku-Ameyaw, K. & Appiah, M. R.
Résumé
Les effets de sulfate
d'ammonium et d'application de bouse de vache sur la croissance des semis
jeunes d'anacardier (Anacardium occidentale) entre les parcelles de
karité étaient étudiés dans deux expériences de champ dans la zone écologique
de la savane au nord du Ghana. Une application basale de 22 et 21 g/plante de
muriate de potasse et triple superphosphate et en plus d'application de sulfate
d'ammonium à une proportion de 0, 70, et 140 g/plante augmentaient
considérablement (P < 0.05) la taille et la circonférence de plante et
nombre de feuille par plante dans une expérience. L'effet de bouse de vache
appliqué à 7 kg/plante n'était pas considérable (P < 0.05) en aucun des
essais et était attribué à une proportion lente probable de la minéralisation.
L'application basale des proportions plus élevées de muriate de potasse triple
superphosphate à 40 et 100 g/plante respectivement en plus de traitements de
sulfate d'ammonium dans une expirience aboutissaient au développement des
symptômes de feuille qui étaient semblables à ceux causé par carence en bore.
La nécessité des recherches supplémentaires pour prouver la justesse de
l'observation faite est mise en lumière.
Variability in some
quantitative characters of cowpea (Vigna unguiculata (L.) Walp)
landraces in Ghana
S. O. Bennett-Lartey & K. Ofori
(S. O. B.-L.: Plant Genetic Resources Centre, Council for
Scientific and Industrial Research, P. O. Box 7, Bunso, Ghana; K. O.:
Department of Crop Science, University of Ghana, Legon, Ghana)
Abstract
Forty-five cowpea accessions
randomly selected from cowpea germplasm from four major cowpea-producing
regions of Ghana, namely Upper East, Upper West, Northern and Eastern regions,
were evaluated to study variability in some quantitative characters.
Variability within regions was not significant, but there were significant
differences among the regions for all the characters studied. The accessions
from Northern Region were the first to flower and mature, while those from
Upper East Region were the last to flower and mature. The number of pods per
plant and seed yield per plant had rather large and similar ranges. A large
proportion of the observed variability in pod and seed character was due to
genetic differences, especially for 100-seed weight. However, the lowest
variability among accessions, except for the 100-seed weight, was recorded for
the Eastern Region. Accessions from Upper East Region had the largest
variability for most of the characters. This identifies the Upper East Region
as a potential source of material for cowpea improvement.
Variabilité en quelques
caractères quantitatifs des variétés des dolique (Vigna unguiculata (L.)
Walp) au Ghana
Bennett-Lartey, S. O. & Ofori, K.
Résumé
Quarante-cinq accessions de
dolique sélectionnées au hasard de germeplasme de dolique de quatre principales
régions productrices de dolique au Ghana, à savoir, les regions d'Upper East,
Upper West, Northern et Eastern étaient évaluées pour étudier la variabilité en
quelques caractères quantitatifs. La variabilité à l'intérieur des régions
n'était pas considérable, mais il y avait des différences considérables parmi
les régions pour tous les caractères étudiés. Les accesions de Northern Region
étaient les premières à fleurir et mûrir, alors que celles d'Upper East Region
étaient les dernières à fleurir et mûrir. Le nombre de cosse par plante et le
rendement de graine par plante avaient plutôt des variations grandes et
semblables. Une grande partie de la variabilité observée dans les caractères de
cosse et de graine était provoquée par des différences génétiques surtout pour
le poids de 100-graine. Toutefois, la plus basse variabilité parmi les accessions,
à l'exception du poids de 100-graine, était enregistrée pour Eastern Region.
Les accessions d'Upper East Region avaient la plus grande variabilité pour la
plupart des caractères. Ceci identifie Upper East Region comme une source
potentielle de matiriel pour l'amélioration de dolique.
A comparison of sawdust and wood shavings as litter materials for broilers
K. Boa-Amponsem & A. Osei-Somuah
Animal Research Institute, Council for Scientific and
Industrial Research, P.O. Box AH 20, Achimota, Ghana
Abstract
The suitability of sawdust
as litter material for broilers was assessed by comparing broiler performance
on it with performance on wood shavings in a 49-day trial. Criteria for
assessment included body weight at 21, 35, 42 and 49 days of age, feed
efficiency, organ data, mortality, litter moisture, and foot pad damage.
Broilers raised on shavings were heavier than those raised on sawdust at 49 and
42 days of age for males and females, respectively. Feed conversion efficiency
was similar for broilers raised on sawdust and shavings. The heavier
gastro-intestinal tract (GIT) and gizzard of broilers raised on sawdust, and
the higher mortality due to crop impaction of these birds suggest that
consumption of sawdust may be the main cause of lowered growth rate. Rate of
increase of moisture in litter was higher for shavings than for sawdust which
explains the higher incidence of foot pad damage on broilers raised on wood
shavings. It was concluded that for short-cycle broiler production programmes
(6 weeks), sawdust is less suitable.
Une comparaison de la sciure de bois et les copeaux de
bois en tant que matières litières pour les poulets de chair
Boa-Amponsem, K. & Osei-Somuah, A.
Résumé
La convenance de sciure de
bois en tant que matière litière pour les poulets de chair était évaluée par la
comparaison du rendement de poulet de chair sur elle avec le rendement sur les
copeaux de bois dans un essai de 49 jours. Les critères de l'évaluation
comprenaient: poids du corps aux âges de 21, 35, 42 et 49 jours, l'efficacité
de ration, les données d'organe, la mortalité, l'humidité de litière et les
dégats du coussinet de la patte. Les poulets de chair élevés sur les copeaux
étaient plus lourdes que ceux qui étaient élevés sur la sciure de bois aux âges
de 49 et 42 jours respectivement pour les mâles et femelles. L'efficacité de
conversion de ration était semblable pour les poulets de chair élevé sur la
sciure et les copeaux. La plus lourde nature de système gastrointestinal (SGI)
et de gésier des poulets de chair élevés sur la sciure et la mortalité plus
élevée provoquées par l' impact de culture de ces volailles suggèrent que la
consommation de sciure pourrait être la cause principale de la proportion de
croissance baissée. La proportion d'augmentation d'humidité dans la litière
étaient plus élevé pour les copeaux que pour la sciure qui explique le taux
élevé des dégâts du coussinet de la patte sur les poulets de chair élevés sur
les copeaux de bois. La conclusion était tirée que pour les programmes de
production de poulets de chair à cycle court (6 semaines), la sciure de bois
est moins appropriée.
Efficacy of three trap types
for trapping Glossina palpalis, G. tachinoides, and G.
mortisans in the Mole Game Reserve in Ghana
D. Dankwa, E. O. K. Oddoye & K. B. Mzamo
Animal Research Institute, Council for Scientific and
Industrial Research, P. O. Box AH 20, Achimota, Ghana
Abstract
A study was undertaken to
determine the most effective of three trap types [biconical, monoconical, and
NGU Siamese (NG2B)] for catching three Glossina species (G. palpalis,
G. tachinoides, and G. mortisans). The three species were trapped
in the Mole Game Reserve where they occur. Results showed that in the absence
of odour attractants, the biconical trap was the most efficient trap. Out of a
total of 4619 tsetse flies caught during the trapping period. 2073 (44.9 %)
were caught in the biconical trap. The monoconical trap caught 1362 tsetse
flies (29.5 %) whilst the NG2B trap caught 1184 tsetse flies (25.6 %). There
was no significant difference (P>0.05) in the number of tsetse flies
caught by the various traps. There were, however, locational differences, with
the number of flies caught in the riverine area being significantly higher (P<0.05)
than the number caught in the pond area, but not significantly different (P<0.05)
from the number caught in the woodland. There was also a very significant
difference (P<0.001) in the species of tsetse flies caught by the
traps. Significantly (P<0.001) more G. tachinoides were caught
as compared to G. mortisans. Virtually no G. palpalis were
caught. The number of female flies caught (3621) was significantly higher (P<0.001)
than the number of male flies caught (995).
Efficacité de trois modèles de piège pour attraper Glossina
palpalis, G. tachinoides et G. mortisans dans la Reserve
Naturelle de Mole au Ghana
Dankwa, D., Oddoye, E. O. K. & Mzamo, K. B.
Résumé
Une étude était entreprise
pour déterminer le plus efficace de trois modèles de piège [biconique,
monoconique et NGU siamese (NG 2B)] pour attraper trois espèces de Glossina
(G. palpalis, G. tachinoides et G. mortisans). La prise au
piège était faite dans la Reserve Naturelle de Mole où tous les trois espèces
se trouvent. Les résultats montraient qu'en absence des odeurs attirantes le
piège biconique était le piège le plus efficace. Sur une totalité de 4619 des
mouches tsé-tsé attrapées pendant la période de prise au piège, 2073 (44.9 %)
étaient attrapées dans le piège biconique. Le monoconique attrapa 1362 des
mouches tsé-tsé (29.5 %) alors que le piège de NG2B attrapa 1184 des mouches
tsé-tsé (25.6 %). Il n'y avait pas de différence considérable (P > 0.05)
dans le nombre des mouches tsé-tsé attrapées par les différents pièges. Il y
avait, cependant des différences d'emplacement avec le nombre des mouches
attrapées dans la zone fluviale étant considérablement élevé (P < 0.05) que
le nombre attrapé dans la zone de mare mais pas considérablement différent (P
> 0.05) du nombre attrapé dans la zone boisée. Il y avait aussi des
différences bien considérables (P < 0.001) parmi les espèces des mouches
tsé-tsé attrapées par les pièges. Considérablement (P > 0.001) plus de G.
tachinoides étaient attrapées en comparaison de G. mortisans.
Pratiquement aucune G. palpalis n'était attrapée. Le nombre des mouches
femelles attrapées (3621) était considérablement plus élevé (P < 0.001) que
le nombre des mouches mâles attrapés (995).
Evaluation of fertilizer application on some peasant cocoa farms in Ghana
M. R. Appiah, K. Ofori-Frimpong & A. A. Afrifa Cocoa Research Institute of Ghana (CRIG), P. O. Box 8, New Tafo-Akim, Ghana
Abstract
Low soil fertility has been
identified as a major cause of decline in yield of cocoa (Theobroma cacao
L.) on peasant farms in Ghana. The objective of the trial is to evaluate the
effect of fertilizer application on yields of cocoa (T. cacao L.) under
peasant farmers’ management in Ghana with the aim of introducing fertilizers to
farmers. This paper presents the results for 4 years of fertilizer trials on
peasant farms. Triple or single superphosphate and muriate of potash at the
rate of 129 kg P205 and 76.5 kg K2O ha-1
yr1, respectively, were applied to one half of 1.6-ha plot whilst
the other half did not receive fertilizers. Generally, the fertilized plots on
all the farms showed an increase in yield over the unfertilised plots during
the 4-year period. The gross yields of the fertilized plots exceeded those of
unfertilised plots by 61.7 per cent in the 1st year, 99.8 per cent
in the 2nd year, 116.0 per cent in the 3rd year, and
106.0 per cent in the 4th year. At the end of the 4th
year, 75 per cent of the farms had yields more than 1000 kg/ha. There were no
significant differences between the age of the farms and variety of cocoa with
fertilizer responses. Furthermore, there was no direct relationship between
fertilizer treatment and incidence of diseases and pests. Substantial yields of
over 1000 kg/ha could be obtained by adopting proper agronomic practices and
the use of fertilizer compared to 280 kg/ha no produced in Ghana. Economic
analysis of results indicated that the use of fertilizers on small-holder cocoa
farms was profitable.
Evaluation d'application d'engrais chimique sur quelques
petits champs de cacao paysans au Ghana
Appiah, M. R., Ofori-Frimpong, K. & Afrifa, A. A.
Résumé
La fertilité basse du sol a
été identifiée comme la cause principale de diminution en rendement de cacao (Theobroma
cacao L.) sur les petits champs paysans au Ghana. Le but de l' essai est
d'évaluer l'effet de l'application d'engrais chimique sur les rendements de
cacao (T. cacao L.) sous l'exploitation des petits cultivateurs paysans
au Ghana avec l'objectif de l'introduction des engrais chimiques aux
cultivateurs. Les résultats pour les 4 années des essais d'engrais chimique sur
les petits champs paysans sont prisentés dans cet article. Le superphosphate
triple et simple en plus de muriate de potasse à la proportion de 129 kg P2O5
et 76.5 kg K2O par ha/an respectivement étaient appliqués à une
demie de 1.6ha de lot alors que la demie autre n'avait pas regu des engrais
chimiques. Dans l'ensemble les lots fertilisés sur tous les champs montraient
une augmentation en rendement par rapport aux lots non fertilisés pendant la
période de 4 années. Les rendements bruts des lots fertilisés dépassaient ceux
des lots non fertilisés par 61.7 pour cent dans la première année, 99.8 dans la
2e année, 116.0 pour cent dans la 3e année, et 106.0 pour
cent dans la 4e année. A la fin de la 4e année, 75 pour
cent des champs avaient plus de 1000 kg/ha de rendements. Il n'y avait pas des
différences considérables entre les âges des champs et la variété de cacao avec
l'engrais chimique en ce qui concerne les réactions. Par ailleurs, il n' y
avait pas de rapport direct entre le traitement d' engrais chimique et le taux
des maladies et les insectes ravageurs.
Des rendements substantiels de plus de 1000 kg/ha pourraient être obtenu
par l'adoption des pratiques agronomiques appropriées et l' emploi d' engrais
chimique en comparaison de celui de 280 kg/ha produit à présent au Ghana. L'
analyse économique des résultats indiquait que l'emploi d' engrais chimique sur
les champs de cacao des petits cultivateurs était rentable.
Grain yield potential and associated traits in maize (Zea
mays L.) varieties in the forest zone of Nigeria
G. O. Agbaje, Y. A. Abayomi & F. Awoleye
(G. O. A.: Institute of Agricultural Research and Training
(Obafemi Awolowo University), Moor Plantation, PMB 5029, Ibadan, Nigeria; Y. A.
A. & F. A.: Department of Crop Production, University of Ilorin, PMB 1515,
Ilorin, Nigeria)
Abstract
Grain yield and 15
associated traits were studied in 10 maize varieties (DMR-L-SR-W, SUWAN 1, EV
9043-DMR, TZPB-SR, TZSR-Y, 8321-18, 8535-23, 8644-27, 8644-31 and 8805-4) from
1995 to 1997 at Ibadan, Nigeria. Varietal differences and the relationship
between grain yield and associated traits were determined. Variety 8321-18 with
the highest grain yield had a 27 per cent yield advantage over the
lowest-yielding variety TZSR-Y. Crop growth rates at vegetative and
reproductive stages were highest in TZSR-Y whilst its harvest index was lowest
when compared to other varieties. 8321-18 had longer ear and kernel growth
duration than most varieties evaluated, and its harvest index was higher than
TZSR-Y. Kernels per plant were more in 8321-18, 8805-4, and EV 9043-DMR than in
the other varieties. Positive correlations were found between grain yield and
Kernels per ear (r=0.70***), kernel rows (r=0.30***) and kernels
per row (r=0.63***), harvest index (r= 0.53**), total dry matter
(r=0.50***), ear growth duration (r=0.36***), kernel growth
duration (r=0.30***), and crop growth rate at reproductive stage (r=0.17**),
except days to 50 per silking (r=0.19*). To improve grain yield, the
biological traits that are significantly associated with grain yield could be
incorporated into a model for developing improved maize genotypes for the
forest zone in Nigeria.
Potentialité de rendement de grain et les traits associés
dans les variétés de maïs (Zea mays L.) dans la zone forestière du
Nigiria
Agbaje, G. O., Abayomi, Y. A. & Awoleye, F.
Résumé
Le rendement de grain et 15
traits associés étaient étudiés en 10 variétés de maïs (DMR-L-SR-W, SUWAN 1, EV
9043-DMR, TZPB-SR, TZSR-Y, 8321-18, 8535-23, 8644-27, 8644-31 et 8805-4) de
1995 à 1997 à Ibadan, au Nigéria. Les différences variétales et le rapport
entre le rendement de grain et les traits associés étaient déterminés. La
variété 8321-18 avec le rendement de grain le plus élevé avait un avantage de
rendement de 27 pour cent par rapport à la variété TZSR-Y ayant de rendement le
plus bas. Les proportions de la croissance de culture aux stades végétatifs et
reproductifs étaient les plus élevées en TZSR-Y alors que son indice de moisson
était le plus bas lorsqu'il est comparé aux autres variétés. 8321-18 avait une durée
de croissance d'épi et de grain plus long que les autres variétés évaluées et
son indice de moisson était plus élevé que celui de TZSR-Y. Les grains par
plante étaient plus nombreux en 8321-18, 8805-4 et EV 9043-DMR que dans les
autres variétés. Des corrélations positives étaient découvertes entre le
rendement de grain et les grains par épi (r = 0.70 ***), les rayons de grain (r
= 0.30 ***) et les grains par rayon (r = 0.63 ***), indice de moisson (r = 0.53
**), le total de matière sèche (r = 0.50 ***), la durée de croissance d' épi (r
= 0.36 ***), la durée de croissance de grain (r = 0.30 ***), la proportion de
croissance au stade reproductif (r = 0. 17 **) excepté les jour à 50 pour cent
de l'apparition des soies (r = -0.19 *). Pour améliorer le rendement de grain
les traits biologiques qui sont considérablement associés au rendement de grain
pourraient être incorporé dans un modèle pour le développement des génotypes de
maïs amélioré pour la zone forestière au Nigéria.
Influence of height of maize
variety on the productivity of intercropped maize (Zea mays L.) and
cowpea (Vigna unguiculata (L.) Walp)
Y. A. Abayomi
Department of Crop
Production, University of Ilorin, PMB 1515, Ilorin, Nigeria
Abstract
A 2-year field study was
conducted to compare the productivity of intercropped and monoculture maize and
cowpea as influenced by the height of maize in the intercrop. During the 1994
and 1995 cropping seasons, IT 84E-124, a semi-erect, early-maturing, and
photoperiod-insensitive cowpea cultivar, was planted with “Afo”, a short (1.2
m), early maturing, less vegetative, and AMRSR-Y, a tall (1.5 m), improved
open-pollinated and of medium maturity group maize cultivars in a row
intercropping. Yield components and grain yield of maize and cowpea were lower
under intercropping than in monoculture systems. Intercropped cowpea yields
were decreased by 29 and 26 per cent, respectively, under the short and tall
maize varieties, while the yields of intercropped maize were reduced by 11 and
33 per cent for the short and tall varieties, respectively, across the two
seasons. Land equivalent ration (LER) was, however, greater with the shorter
maize variety than with the taller variety (1.60 vs 1.41), and was greater with
the intercrops than with the monocultures (1.51 vs 1.00) across the two
seasons. The results of this study indicate that although intercropping may
result in decreases in the yield of one or both of the component crops in a
maize-cowpea mixture, the productivity of a unit land area is higher with intercropping
than with monoculture. The higher LER with the shorter maize variety in this
study suggests that intercropping may be more remunerative when short and less
vegetative cereal varieties are used in mixtures with legume crops.
Influence de la taille de variété de maïs sur la
productivité de maïs (Zea mays L.) semé en lignes alternantes de dolique
(Vigna unguiculata (L.) Walp)
Abayomi, Y. A.
Résumé
Une étude de 2 années sur le
champ s'est déroulée pour comparer la productivité de deux cultures et monoculture
de maïs et dolique comme influencée par la taille de maïs semé en lignes
alternantes de l'autre culture. Pendant les saisons des semailles de 1994 et
1995 IT 84E-124, une variété de dolique, de semi-debout, de maturation tôt et
de photopériode insensitive était semé avec "Afo" une variété courte
(1.2 m) de maïs, de maturation tôt et moins végétatif et avec DMRSR-Y une
variété haute (1.5 m) de maïs amélioré de pollinisation libre et de groupe de
maturation moyenne, en lignes alternantes. Les composants de rendement et le
rendement de grain de maïs et de dolique tous deux étaient plus basses sous les
semailles en lignes alternantes que dans les systèmes de monoculture. Les
rendements de dolique semé entre les lignes d'une autre culture diminuaient par
29 et 26 pour cent respectivement sous la variété courte et haute de maïs,
alors que les rendements de maïs semé entre les lignes d'une autre culture
réduisaient par 11 et 33 pour cent respectivement pour les variétés courtes et
hautes au cours des deux saisons. La proportion de l'iquivalent de terre (PET)
était, cependant, plus grande avec la variété courte de maïs qu' avec la
variété haute (1.60 vs 1.41) et plus grande avec les deux cultures en lignes
alternantes qu' avec les monocultures (1.51 vs 1.00) au cours des deux saisons.
Les résultats de cette étude indiquent que malgré le fait que les semailles en
lignes alternantes puissent mener aux diminutions en rendement de l'une ou de
toutes deux cultures composantes dans le mélange de maïs-dolique, la productivité
d'une unité de superficie de terre est plus élevée avec les deux cultures
alternantes qu' avec les monocultures. PET plus élevée avec la variété plus
courte de maïs comme obtenue dans l'étude en question suggérait que les
semailles en lignes alternantes pourraient être plus rémunératrices lorsque les
variétés de céréale moins végétatives et courtes sont utilisées dans les
mélanges avec les cultures légumineuses.
Predicting the liveweight of sheep by using linear body measurements
O. Baffour-Awuah, E. Ampofo
& R. Dodoo
(O. B.-A. & E. A.: Department of Animal Science,
School of Agriculture, University of Cape Coast, Cape Coast, Ghana; R. D.:
Animal Production Department, Ministry of Food and Agriculture, Pong-Tamale,
Ghana)
Abstract
The relationship between
live body weight and some linear body measurements using data on sheep are
explored. Predictive models for body weight were then fitted to the data. The
optimum model for predicting live body weight of sheep involves the sex of the
animal and its index of volume (estimated as the product of the square of the
heart girth and the body length) as predictor variables. A weight chart based
on this model is constructed for determining liveweight of sheep, given an
animal’s sex, its heart girth, and body length. The advantage of this chart
over the one developed by the Ministry of Food and Agriculture, Ghana, is
briefly discussed.
Prédisant le poids vif de mouton en utilisant les mesures linéaires du
corps
Baffour-Awuah, O., Ampofo, E. & Dodoo, R.
Résumé
Le rapport entre le poids
vif et quelques mesures linéaires du corps en utilisant les données du mouton
est exploré. Les modèles prophétiques pour le poids corporel étaient alors
fixés sur les données. Le modèle optimum pour la prédiction de poids vif de mouton
entraîne le sexe de l'animal et son indice de volume (estimé comme le produit
du tour de cœur carré et la longueur du corps) comme des variables prédiseuses.
Un graphique de poids basé sur ce modèle est construit pour la détermination de
poids vif de mouton étant donné le sexe d' un animal, son tour de c’ur et la
longueur du corps. L'avantage de ce graphique par rapport à ce qui est
développé par le Ministère de l' alimentation et l'agriculture du Ghana est
brièvement discuté.
Performance of sheep fed NaOH-treated straw with browse
compared with urea-treated straw
J. E. Fleischer, E. T. Sottie & K. Amaning-Kwarteng Department of Animal Science, University of Ghana, LG 226, Legon, Ghana
Abstract
Two experiments were carried
out to study the relative intakes and performance of sheep fed NaOH-treated
straw supplemented with browse or shrub compared with sheep fed urea-treated
straw. The shrub or browse used were Securinga virosa, Milletia
thonningii, and Delonix regia. The browse/shrub was fed together
with NaOH-treated rice straw (STS) (44.2 g NaOH in 118 g water per kg straw)
and compared with urea-treated straw (UTS) (75.5 g urea in 434.3 ml water per
kg straw). In Experiment 1, significant differences (P<0.05) were
observed in intake. Animals on Delonix had a lower intake (38 g/kg0.75)
compared to the others (42 to 44 g/kg0.75). Straw intake was higher
on UTS (43 g/kg0.75) compared to the others (31 to 34 g/kg0.75).
Intake of browse was lower with Delonix (7.0 g/kg0.75)
compared to the others (10 g/kg0.75). No significant differences (P
<0.05) were observed among treatment groups in either rumen pH or ammonia
levels. In Experiment 2, significant differences (P <0.05) were
observed in intake, daily weight gains, and feed conversion efficiency. Total dry
matter intake varied from 46 to 51 g/kg0.75, straw intake ranged
between 36 and 51 g/kg0.75, and browse intake between 9 and 14 g/kg0.75.
Daily weight gain was between 44 and 62 g/d while feed conversion ratio ranged
between 6 and 8 kg kg-1.
Le rendement de mouton nourri de paille traitée de NaOH
avec un brout par comparaison avec la paille traitée d'urée
Fleischer, J. E., Sottie, E. T. & Amaning-Kwarteng, K.
Résumé
Deux expériences se sont
déroulées pour étudier les consommations et les rendements relatifs de mouton
nourri de paille traitée de NaOH et avec le brout ou l'arbuste comme régime
complémentaire par comparaison avec le mouton nourri de paille traitée d' urée.
L' arbuste ou le brout utilisé étaient Securinege virosa, Milletia
thonningii et Delonix regia. L' arbuste/le brout était donné à
manger conjointement avec la paille de riz traitée de NaOH (PTS) (44.2 g NaOH
en 118 g d'eau par kg de paille) par comparaison avec la paille traitée d' urée
(PTU) (75.5g d' urée en 434.3 ml d'eau par kg de paille). En Expérience 1, des
différences (P < 0.05) étaient observées dans la consommation. Les animaux
nourris de Delonix avaient une consommation plus basse (38 g/kg0.75)
en comparaison des autres (42 à 44 g/kg 0.75). La consommation de
paille était plus élevée avec PTU (43 g/kg0.75) en comparaison des
autres (31 à 34 g/kg0.75). La consommation de brout était plus basse
avec Delonix (7.0 g/kg0.75) en comparaison des autres (10
g/kg0.75). Aucune différence considérable (P > 0.05) n' était
observée parmi les groupes de traitement soit en pH de rumen soit les
niveaux d' ammoniaque. En Expérience 2, des différences considérables
(P<0.05) étaient observées en consommation, gains quotidiens de poids et
efficacité de conversion de ration. La consommation de matière sèche totale
variait de 46 à 51 g/kg0.75, la consommation de paille totale
variait entre 36 et 51g/kg0.75 et la consommation de brout total
variait entre 9 et 14 g/kg0.75. Le gain de poids quotidien était
entre 44 et 62 g/j alors que la proportion de conversion de ration variait
entre 6 et 8 kg kg-1.
Preliminary studies on the complete replacement of
fishmeal by house-fly-larvae-meal in weaner pig diets: Effects on growth rate,
carcass characteristics, and some blood constituents
D. Dankwa, E. O. K. Oddoye & K. B. Mzamo
Animal Research Institute, Council for Scientific and
Industrial Research, P.O. Box AH 20, Achimota, Ghana
Abstract
Ten Large White weaners with
an average liveweight of 10.6 kg were assigned to two diets containing either
fishmeal or house-fly-larvae-meal as the main protein source. The average daily
gains of the pigs were 0.25 and 0.29 kg for the fishmeal and
house-fly-larvae-meal diets, respectively. Feed conversion ratios were 3.64 and
3.29, and feed cost per kg gain were ¢2735.18 and ¢2470.89 for the fishmeal and
house-fly-larvae-meal diets, respectively. Dressing percentage, fat
measurements, and eye muscle area were not significantly affected (P<0.05)
by the dietary treatments. The carcass fat contents were, however, higher in
the house-fly-larvae-meal-fed pigs. The weights of joints and cuts expressed as
a proportion of carcass weight were not significantly affected (P
<0.05) by diet. The blood parameters studied, i.e., packed cell volume (PCV)
and haemoglobin, were not significantly affected (P <0.05) by diet.
House-fly-larvae-meal could, therefore, be used to replace dietary fishmeal
completely without compromising growth performance and the economics of pig
rearing.
Etudes préliminaires sur le remplacement complet de guano
de poisson avec le guano d'asticot de la mouche domestique dans les régimes de
jeune cochon sevré: Les effets sur la proportion de croissance, les
caractéristiques de carcasse et quelques constitutifs sanguins
Dankwa, D., Oddoye, E. O. K. & Mzamo, K. B.
Résumé
Dix jeunes cochons gros
blancs sevrés avec un poids vif moyen de 10.6 kg étaient donnés deux régimes
contenant soit le guano de poisson soit le guano d' asticot de mouche
domestique comme la source principale de protéine. Les gains quotidiens moyens
des cochons étaient 0.25 et 0.29 kg respectivement pour les régimes de guano de
poisson et guano d' asticot. Les proportions de conversion de ration étaient
3.64 et 3.29 et le coût de ration par kg de gain étaient ¢2735.18 et ¢2470.89
respectivement pour les régimes de guano de poisson et guano d'asticot de
mouche. Le pourcentage de préparation, le mesure de la graisse et la superficie
de muscle du filet n'étaient pas considérablement affectés (P > 0.05) par
les traitements de régime. Les niveaux de graisse de carcasse étaient,
cependant, plus élevés dans les cochons nourris avec le guano d' asticot de
mouche domestique. Les poids des jointures et des morceaux exprimés comme des
proportions de poids de carcasse n'étaient pas considérablement affectés (P
> 0.05) par le régime. Les paramètres du sang étudiés c.-à-d., le volume de
cellule serrée (VCS) et l' hémoglobine n' étaient pas considérablement affectés
(P > 0.05) par le régime. Le guano d' asticot pourrait donc être utilisér
pour remplacer le guano de poisson complètement sans compromettre le rendement
de croissance et le côté économique de l'élevage du cochon.
Germplasm selection of small-holder cassava farmers in Delta State, Nigeria
E. M. Igbokwe Department of Agricultural Extension, University of Nigeria, Nsukka,
Nigeria
Abstract
The study evaluated criteria
for selection of cassava cultivars grown by small-holder farmers in Delta State
of Nigeria. The results showed that in addition to a local variety, “Opotopo”,
most farmers preferred the two improved cultivars, TMS 30527 and TMS 30555, out
of four that were distributed by extension workers in the State. The two
improved cultivars were selected by high yield, early maturity, and resistance
to pests and diseases. The farmers were unwilling to compromise the use of the
local variety because it is less fibrous and, therefore, suitable for the
traditional ‘fufu’ dish, though low yielding and also disease and pest
susceptible.
Sélection de germeplasme par les petits cultivateurs de
manioc dans l'Etat de Delta du Nigéria
Igbokwe, E. M.
L' étude évaluait les
critères pour la sélection des variétés de manioc cultivées par les petits
cultivateurs de l'Etat de Delta du Nigéria. Les résultats révélaient qu' en
plus de la variété locale "Opotopo" la plupart des cultivateurs
montraient une préférence pour les deux variétés améliorées, TMS 30527 et TMS
30555 sur les quatre qui étaient distribuées par les vulgarisateurs dans l'
état. La sélection des deux variétés améliorées était basée sur le rendement
élevé, la maturation tôt et la résistance aux insectes ravageurs et aux
maladies. Les petits cultivateurs ne voulaient pas accepter un compromis sur
l'utilisation de la variété locale parce qu' elle est moins fibreuse et, pour
cette raison, appropriée au plat de 'fufu' traditionnel malgré son rendement
bas et sa prédisposition à la maladie et à l' insecte ravageur.
Phytophthora megakarya: A potential threat to the
cocoa industry in Ghana
I. Y. Opoku, A. A. Appiah, A. Y. Akrofi & G. K. Owusu Cocoa Research Institute of Ghana (CRIG), P.O. Box 8, New Tafo-Akim, Ghana
Abstract
A
severe black pod disease of cocoa in Ghana caused by Phytophthora megakarya
was first reported in 1985, even though there is evidence that the fungus might
have existed earlier. Until then, only Phytophthora palmivora which
causes a less severe black pod disease was known in Ghana. P. megakarya
has changed the status of black pod disease in Ghana, causing serious crop
losses and great concern among farmers. The distribution, disease
characteristics and spread of P. megakarya, the black pod disease
incidence and effects on yield of cocoa in Ghana, are reviewed. Records of
cocoa sales and data from on-farm farmer-managed control trials have been
presented to illustrate cocoa-yield patterns in P. palmivora and P.
megakarya-affected districts. Problems associated with the control of black
pod disease caused by P. megakarya, and the measures developed for its
management are also discussed. Because black pod disease caused by P.
megakarya poses a serious threat to cocoa production in Ghana, efforts
should be made by all stakeholders to ensure its effective management.
Phytophthora
megakarya: Une menace potentielle à l' industrie de cacao au Ghana
Opoku,
I. Y., Appiah, A. A., Akrofi, A. Y. & Owusu, G. K.
Résumé
Une
maladie grave de cosse noire du cacao au Ghana causée par Phytophthora
megakarya était signalée pour la première fois en 1985, malgré le fait
qu'il ait une évidence que le fongus aurait pu être présent avant cette date.
Jusque-là, c'est seulement Phytophthora palmivora, qui est la cause
d'une maladie moins grave de cosse noire, était connue au Ghana. P.
megakarya a changé la situation de la maladie de cosse noire au Ghana,
causant des pertes sévères des cultures et de grande inquiétude pour les cultivateurs.
La distribution, les caractéristiques de maladie et propagation de P.
megakarya, la situation de la maladie de cosse noire et son effet sur le
rendement de cacao au Ghana sont passés en revue. Les rapports des ventes de
cacao, et les données des essais de contrôle exploité par le cultivateur sur le
champ ont été présenté pour illustrer les orientations de rendement de cacao
dans les districts affectés par P. palmivora et P. megakarya. Les
problèmes liés au contrôle de la maladie de cosse noire causés par P.
megakarya et les démarches développées pour son contrôle sont également
discutés. Puisque la maladie de cosse noire causée par P. megakarya pose
une menace serieuse à la production de cacao au Ghana, des efforts doivent être
fait par toutes les dépositaires d'enjeux pour assurer son contrôle efficace.
|