African
Journals Online
WEST AFRICAN JOURNAL OF PHARMACOLOGY AND
DRUG RESEARCH
(JOURNAL
OUEST AFRICAIN DE PHARMACOLOGIE DE RECHERCHE
SUR LES MEDICAMENTS)
Vol 18 Abstracts
THE ROLE OF SEX HORMONES IN SEXUAL DIFFERENTIATION OF THE
BRAIN: A REVIEW
*Anuka J. A.
Department of Pharmacology and Clinical Pharmacy, Ahmadu
Bello University, Zaria, Nigeria
Abstract:
The development of the brain is an extremely complicated and
subtle process which is not solely and directly under genetic control but is
brought about by the action of sex hormones, in particular gonadal steroids
acting during the prenatal/perinatal or neonatal stages of life. The presence
of sex hormones during the foetal or neonatal life and at a critical stage of
brain development will act in an inductive or organizational way on the
undifferentiated brain to organize it to the male type of brain while during
the adult existence they act on the central nervous system in an excitatory or
inhibitory way and are thus concerned with regulation of gonadotrophin
secretion and with overt patterns of sexual behaviour. In the developing
animal, the actions of sex hormones permanently alter neural development in
certain brain regions and lead to brain sex differences while in adult animal,
sex hormones reversibly alter behavioural patterns as well as anterior
pituitary secretion. In the absence of high levels of testosterone during the
critical period of brain development and perhaps under the influence of ovarian
oestrogens, the brain, as it develops, follows a female pattern of sexual
differentiation. The mammalian brain is fundamentally female and the functional
patterns recognized as masculine are imposed on the basic form by exposure to
suprathreshold or threshold levels of gonadal steroids (particularly
testosterone) during the critical period of brain development.
Key words: Brain, sex hormone,
sexual differentiation
Résumé
Le développement du cerveau est un processus
extrèmement compliqué et subtile qui n’ est pas uniquement et directment sous
le contrôlé génétique mais le résultat des jeux de l’ hormone sexuelle, en
particulier, des stéroids gonadales activent pendant les stages
prenatal/périnatal ou néonatal de la vie. La présence des hormones sexuelles
pendant la période foetale ou néonatale, et pendant le stage critique du
développement du cerveau fonctionnera d’ une manière inductive et
organisationnelle sur le cerveau indifferencié pour l’ organizer au type du
cerveau masculine alors qu’ elles fonctionnent sur le système nerveux central
d’ une manière excitatrice ou inhibitrice pendant la vie adulte et elles out
donc pour fonction de régler la sécrétion du gonadotrophine avec un modèle
évident du comportment sexuel. Pour l’ animal en processus du dévelopment, les
actions des hormones sexuelles changent de façon permanente, le développement
neural dans certaines régions du cerveau résultant à une différentiation sexuelle
du cerveau alors que dans l’ animal adulte, les hormones sexuelles changent de
façon irréversible le modèle du comportment de même que que la sécrétion de la
pituite antérieure. Dans l’ absence d’ un haut niveau du testostérone pendant
la période critique du développement du cerveau et pent-être sous l’ influence
des oestrogènes ovariennes, le cerveau en processus de développement suit un
modèles féminine de différentiation sexuelle. Le cerveau mammalien est
fondamentalement femelle et les modèles fonctionnels identifiés comme masculins
sont imposés sur la forme canonique par exposition au senile supra d’
excitation ou aux niveaux du senil d’ excitation des stéroides gonadales
(testostérone) pendant la période critique du développment du cerveau.
Mots cles: le cerveau, hormones
sexuelles, differentiation sexuelle.
THE DEVELOPMENT OF REFERENCE VALUES FOR THE WHO HEALTH
FACILITY CORE PRESCRIBING INDICATORS
Isah A.O.1*, Laing R.2, Quick J.3, Mabadeje
A.F.B.4, Santoso B.5, Hogerzeil
H.3, Ross-Degnan D.6
International
Network for Rational Use of Drugs and
1Department
of Medicine, University of Benin, Benin City, Nigeria; 2Boston University, USA; 3World Health Organization Essential
Drugs and Medicines Policy Department; 4University of Lagos, Nigeria; 5Gadjah Mada University, Yogyakarta,
Indonesia; 6Harvard Medical School and Harvard
Pilgrim Health Care, USA.
Abstract
This study outlines a method for developing reference values
for the WHO core prescribing indicators using survey-derived morbidity data and
locally appropriate treatment guidelines developed by a panel of health care
providers. Ten (10) health care facilities were selected randomly from two
states in Nigeria (Edo and Delta). A retrospective cross-sectional survey of
the prevalence and severity of clinical problems seen in these facilities was
carried out using a minimum of 100 medical records per facility. A panel of
health care providers reviewed relevant information on disease presentation for
each encounter to confirm or impute a diagnosis.Another
multidisciplinary expert panel reached consensus about the most appropriate
local treatment for each diagnostic category thus identified, and assigned
appropriate values to the core WHO prescribing indicator variables for the
category. Reference values for the indicators were obtained by summing across
all diagnostic categories the proportion of cases in the category times the
consensus value assigned to the indicator variables for that category. One
thousand one hundred and nine (1109) clinical encounters were evaluable. The
predominant diseases were malaria (24.9%), acute respiratory infections
(11.9%), skin disorders (7.0%), trauma (6.8%), non-specific fever (4.5%),
diarrhoea (4.0%), miscellaneous disorders with a single diagnosis (23.0%), and
encounters with multiple diagnoses (17.9%). Overall, 69.8% of cases were
classified as mildly ill, 28.5% moderately and 1.7% of cases as severely ill.
The local reference values derived for the WHO core prescribing indicators were
as follows: average number of drugs per encounter (1.6-1.8); percentage
encounters with injections (10.1%-17.0%); and with antibiotics (20.0%-25.4%).
The maximum possible value of 100.0% was assigned to the percentages of drugs
prescribed by generic name and those prescribed from the essential drug list.
It is feasible to derive reference values for prescribing indicators by
combining local clinical case mix data and consensus treatment guidelines for
major disease entities.
Key words: drug use; WHO; prescribing indicators;
reference values; Nigeria
Résumé
Notre étude donne les grandes lignes d’une méthode
servant à développer des valeurs de références pour les indicateurs de
L’Organisation Mondiale pour la Santé (WHO) qui prescrivent les noyaux. On a
utilisé des données de morbidité obtenues grâce à des enquêtes sur place et
grâce à des conseils locaux établis par un groupe de dispensateurs de soins de
santé. Nous avons choisi au hasard dix (10) services de santé dans deux Etats
du Nigéria (Edo et Delta). Puis, s’agit d’une enqête rétrospective et
englobante sur la prédominance et la sévérité des problèmes cliniques
rencontrés dans ces services. Pour ce faire, on a pris un minimum de 100
dossiers médicaux par service. Un panel de dispensateurs de soins de santé a
revu les renseignements pertinents sur la présentation de la maladie dans
chaque incident afin de confirmer ou d’imputer des diagnoses. Un autre panel de
spécialiates provenant de domaines différents est tombé d’accord à propos du
traitement local le plus approprié pour chaque catégorie diagnostique ainsi
identifiée. Ce panel a aussi attribué, pour la catégorie, des valeurs
appropriées aux variables des indicateurs de l’Organisation Mondiale pour la
Santé qui prescrivent les noyaux. Les valuers référentiielles ont été obtenues
en déterminant, à travers toutes les catégories diagnostiques, la proportion
des cas dans la catégorie et en la multipliant par la valeur du consensus
assignée aux variables de l’indicateur pour cette catégorie. Mille cent-neuf
incidents cliniques (1109) devaient être évalués. Les maladies prédominantes
étaient: paludisme (24,9%), infections respiratoires aiguës (11,9%), désordres
de la peau (7,5%), diarrhée (4,0%), désordres divers d’une diagnose (23,0%),
incidents aux diagnoses multiples (17,9%). En tout, 69,8% des cas étaient
classifiés comme un peu malade, 28,5% comme moyennement malade, et 1,7% comme
gravement malade. Les valeurs référentielles locales retenues pour les
indicateurs de l’Organisation Mondiale pour la Santé (WHO) prescrivant les
noyaux sont les suivantes: nombre moyen de médicaments par incident (1,6-1,8);
pourcentage des incidents exigeant des piqûres (10,1%) – 170%); incidents
exigeant des antibiotiques (20,0%) – 25,4%). La valeur maximale de 100,0% pour
les indicateurs de l’Organisation Mondiale pour la Santé (WHO) a été attribuée
aux pourcentages des médicaments prescrits sous des noms génériques et à ceux
prescrits à partir de la liste des médicaments essentiels.
Il est possible d’obtenir les valeurs référentielles pour
les indicateurs de prescription en combinant des données mixtes des cas
clinques locaux et des conseils de traitement des entités de maladies majeures
établis par un consensus.
Mot cles: usage de medicaments; WHO;
prescrivant indicateurs; valeurs référentielles; Nigéria
ANTIMICROBIAL AND PRELIMINARY PHYTOCHEMICAL SCREENING OF GUIERA
SENEGALENSIS, EUPHORBIA LATERIFLORA AND MITRACAPUS SCABER
Sule M.S.1, *Bichi L.A.2 and Atiku M.K.1
1Department of Biochemistry and 2Department of Pharmacology, Bayero
University Kano, Nigeria
Abstract:
Water extracts of the leaves of three medicinal shrubs, viz:
Guiera senegalensis, Euphorbia lateriflora and Mitracapus scaber, were
tested for their antimicrobial activity against seven standard microbial
strains (Staphylococcus aureus, Escherichia coli, Candida albicans,
Pseudomonas aeruginosa, Proteus vulgaris, Klebsiella pneumoniae and
Streptococcus species). G. senegalensis had the highest
antimicrobial activity with pronounced effect on five of the bacteria strains.
On the other hand, E. lateriflora had only mild effect on only three
bacteria strains. The phytochemical screening revealed that G senegalensis contains
all the four chemicals investigated for, i.e., anthraquinones, alkaloids,
tannins and ascorbic acid; M. scaber contains tannins and alkaloids, E
lateriflora contains only alkaloids. The results are discussed in the light
of the traditional medicinal uses of the plants.
Key words: Guiera senegalensis, Euphorbia lateriflora,
Mitracapus scaber, antimicrobial.
Résumé
Les extrats acqueux des feuilles de trios arbuste medicinals
à savoir :Guiera senegalensis, Euphorbia lateriflora et Mitracapus scaber, ont
été testé pour leur activités antimicrobiennes sur sept souche standard de
bacterites (Staphyloccoque aureus, Escherichia coli, Candidas
albicans, Pseudomonas aeruginosa, Proteus vulgaris, Klebsiella
pneumoniae et des Streptoccoques). G. senegalensis à demontrer la
plus grande activité antimicrobienne avec une activité prononcée sur cinq des
souches bacteriennes. D’autre par E latiflora à juste eu un effet mineur
ce sur seulement trois des souche bacteriennes. L’examen phytochimique revèle
que G senegalensis contient tous les quatre elements chimique recherches
ie: anthraquinone,alkaloids,tannins et acide ascorbique; M scaber contient
tannins,et alkaloids.et E. lateriflora contient seulement des alkaloids.
Les resultants ont été argumenté à la lumière de l’ utilisation traditionnelle
des plante medicinales.
Mot clés: Guiera senegalensis, Euphobia
lateriflora, Mitracapus scaber, antimicrobienne
THE HYPOGLYCAEMIC EFFECT OF TELFARIA OCCIDENTALIS
AQUEOUS LEAF EXTRACT IN RATS
Emudianughe
T. S.* and Aderibigbe A.O.
Department of Pharmacology and Therapeutics, Faculty of
Health Sciences, University of Ilorin, Ilorin, Nigeria
Abstract:
The effects of the aqueous extract of the leaves of Telfaria
occidentalis (TO) on blood glucose was determined in normal control as well
as streptozotocin-treated hypoglycaemic wistar rats. Blood glucose levels were
determined using the Merck urinary glucose stick test and the Sigma o-toluidine
glucose test. TO produced a gradual but significant reduction in blood glucose
in streptozotocin treated hyperglycaemic rats over a period of eight days
compared to the normoglycaemic or chlorpropamide treated controls. It is
concluded that the leaves of the plant may have a beneficial effect in diabetes
mellitus.
Key words: Telfaria occidentalis, hypoglycaemic effect,
rats.
Résumé
Les éffets des extrat acqueses des feuilles de Telfaria (TO)
sur le taux sanguing de glucose des souris male Wistar de controles et des
streptozotocin hyperglycemique-indiute ont été examinés. Les taux de glucose
sanguing ont été dérterminé utilisant. Merck urinary glucose stick et le Sigma
o-toluidine glucose test. TO a produit une reduction graduelle mais
significante du taux sanging de glucose comparé aux souris de controles ou sous
Chlopropamide pendans une periode de huit jours. Il est conclue que TO qui est
un légume commun au Nigeria peut avoir un éffet benefique chez les diabétique.
Mot clés : Telfaria occidentalis,
hypoglycemie, souris
Effect of Intraoperative Mitomycin
C on the Re-currence rate of Pterygium in Nigerians
Ukponmwan
C. U. * and Osahon A. I.
Department
of Ophthalmology, School of Medicine, College of Medical Sciences, University
of Benin, PMB 1154, Benin City, Nigeria.
Abstract:
The aim of this study is to report, on a more
comprehensive follow up, the effect of intra-operative mitomycin C on the
recurrent rate of pterygium after excision in Benin City, Nigeria. The eyes
were treated with intra-operative application of mitomycin C (0.4mg/ml) for
three minutes after excision using the bare scleral method and copiously
irrigated with normal saline. The total number of pterygia excised was 66 in 51
patients. The age range of the patients was 21 - 60 years with a mean age of
43.7 + 12.7 years. Fifty four pterygia were primary while twelve were recurrent
cases. The period of study was January 1998 to June 2001. The period of follow
up was from 4 weeks to 3.5 years with a mean of 20.9 weeks. Three (5.6%) of the
primary pterygia recurred. Other complications were bacterial conjunctivitis in
4 cases and granuloma in 3 cases. Twelve recurrent pterygia were excised in 10
patients. Seven (58.3%) of these cases recurred. Intra-operative mitomycin C is
quite effective in reducing the recurrent rate of primary pterygium, but is not
so effective in recurrent cases. The use of intra-operative mitomycin C is
strongly recommended after excision of primary pterygia in Nigerians to reduce the
rate of recurrence.
Key words: Pterygium, recurrence, mitomycin.
Résumé
Le but de cet étude et le raport plus comprehensif du
suivit de l effets intra-opérative du mitomycin C sur le taux de recurrence du
pterygium après excision à Benin City, Nigeria. Les yeux ont été traité avec
une application intra-opérative du mitomycin C (0.4gmp/ml) pendant trios
minutes ce après excision utillisant la methode scleral nue et une irrigation
abondante avec une solution saline isotonique (normale). Le nombre total de
pterygiums excisés était de 66 sur un total de 51 patients. Leurs ages variants
entre 21 – 60 ans avec une moyenne d’ age de 43.7+12.7 ans . cinquante
quatre pterygiums étaient du type primaire alors douze étaient des cas
recurrents. La période d’étude était de janvier1998 a juin 2001. la period de
suivit était de 4 semaines à 3.5 ans avec une moyenne de 20.9 semaines. 3(5.6%)
de pterygium du type primaire se sont renouvelles . d’autre complications
etaient la conjunctivite d’origine bacteriennes(4cas) et des granulome dans 3
cas. Douze pterygiums du type recurrent étaient excises sur 10
patients.7(58.3%) de ces cas se sont renouvellés . L’application intra –
opérative du mitomycin C est bien efficace dans la réduction du taux de
recurrence du pterygium de type primaire mais pas aussi effectif dans les cas
recurrents. L’utilisation intra-operative du mitomycin C est fortement
recommend après excision du pterygium du type primaire chez les Nigerian pour
reduire le taux de recurrence.
Mot clés: Pterygium, recurrence,
mitomycin
SOME PATHOLOGICAL
STUDIES ON INDOMETHACIN-INDUCED LETHALITY IN RATS
Omogbai
E. K. I.1*, Ozolua R. I.1, Enosolase M. E. 2, Ideawor P.3,
and Isah
A. O.4
1Department of Pharmacology and
Toxicology, 2Department of Haematology, 3Department of Pathology,
4Department of Medicine, University of
Benin, Benin City, Nigeria
Abstract:
Some pathological lesions in rats occurring at lethal doses
of indomethacin were characterised. Damage occurred mainly in the liver
(hepatocellular necrosis), kidney (interstitial nephritis and tubular
necrosis), and lungs (interstitial pneumonitis). Mean aspartate
aminotransferase (AST) levels increased significantly compared to control
animals (P< 0.01). Haematological studies revealed a decrease in the haematocrit
(P< 0.01), WBC (P< 0.05), and platelets. Marked polychromasia and
anisocytosis of the RBCs were indicative of active bone marrow response. At the
lethal doses, indomethacin increased bleeding time but not more than a
therapeutic dose of aspirin. Mean weight and locomotor activity were reduced
significantly by the third day following the administration of 12mgkg-1 of indomethacin. The studies show
that other injuries aside from GIT lesions contribute to indomethacin-induced
death in rats.
Key words: Rats, indomethacin, pathological lesions,
lethality.
Résumé
Quelque lesions pathologique produit chez les souris à des
doses léthal d’indométhacin on été charactérisées .les destructions se
manisfestant majoritairement au foie ( nécrose hépato-cellulaire, néphrite
interstitielle et nécrose tubulaire) et aux poumons ( pneumonie
interstistielle). Le taux moyen de l’aspartate aminotrasferase(AST) était
significativement éléve comparativement à ceux des animaux de control (p <
0.01) globules blanc compté (GBC) , (p < 0.05) et les plaquettes sanguines
(platelets). Une polychromatose et anisocytose marké des globules rouge (GR)
indicant une réponse active de la mœl osseuse. A des doses léthal
d’indométhacin prolonge le temps d’ecoulement sanguin.mais pas plusque la dose
therapeutique de l’aspirin. La moyenne du poids et de l’activitée locomotrice
étaient reduite significativement au troisièmejour de l’administration des
doses de 12mg kg-1 d’indométhacin. Les études ont
montré que des lesions apart ceux du tract gastrointestinal contribue à la mort
induite par l’indométhacin chez les souris.
Mot clés: Souris, indomethacin,lesions
pathologique, léthalité
POSSIBLE ROLE OF DRUGS AND HERBAL MEDICINES IN
STEVENS-JOHNSON SYNDROME
1Egbagbe E.E. and 2Osahon A.I.
1Department of Medicine, University of
Benin Teaching Hospital, Benin City.
2Department of Ophthalmology,
University of Benin Teaching Hospital, Benin City
Abstract:
This paper has reviewed three cases of erythema
multiforme major who presented with ocular complications. In one of the cases,
the patient became blind because of mismanagement. The precipitating factors in
the three patients were a herbal remedy, Fansidar® (Sulfadoxine 500mg;
Pyrimethamine 25mg) and Thiacetazone, respectively. In this communication, attention
is being drawn to the possible role of herbal remedies in the aetiology of
Stevens-Johnson syndrome. It is advocated that all patients presenting with
features suggestive of erythema multiforme major (Stevens-Johnson syndrome)
should be referred, without delay, to a tertiary institution where such
patients will have the opportunity of multi-disciplinary management with a view
to preventing blindness and other systemic complications.
Key
words: Erythema multiforme major, eye involvement, drugs, herbal remedies.
Résumé
Ce
papier a review trios cas d’erytheme multiforme majeur qui se sont présentés
avec des complication occulaires. Dans l’un cas le patient est devenue aveugle
a cause d’ un mauvais traitement.les facteurs précipitant dans les trios cas étaient
des concoctions d’origine herbals, Fansidar® (Sulfadoxine 500mg,
Pyrimethamine 25mg) et du thiacetazone respectivement.dans cette communication
l’attention est attire sur le possible role des concoction herbales dans
l’étiology du syndrome de Stevens-Johnson. Il est advoqué que tous les patients
se présentant avec des symptomes suggerant l’érytheme multiformes majeur
(syndrome de Stevens-Johnson) devrons etre transférés sans delai dans une
institution tertiaire où ce types de patients béneficiérons d’un traitement
multi-diciplinaire en vue de prévenir la cessite et d’autre complication
systemiques.
Mot clés: Erythème multiforme majeur, emprise occulaire,
medicaments, concoction herbales.
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